DVD, TV et VOD : visionnages

Faussement original, un film bien trop sage qui ne pousse pas son concept jusqu'au bout. Super casting et quelques rares scènes assez drôles.

Le chat est drôle (sans spoiler) ^^ ?

Beaucoup moins que je le pensais. Une seule réplique/scène avec lui m'a vraiment fait rire et seulement parce que ça m'a rappelé la grosse boule de poils blanche chez ma copine

Okay merci !

Pour son 3ème opus la série des puppet master passe par la case préquel et le fait excellemment. 

Le script proposé permet d'en savoir plus sur André Toulon et ses marionnettes, à ce sujet on en sera beaucoup plus sur les origines de Blade ou encore de Leech women ( superbe scène par ailleurs pour sa renaissance ), ensuite, on a droit à un super méchant en la personne de Richard Lynch qui est tout simplement monstrueux en crapule de la gestappo, ensuite j'ai bien aimé le personnage du dr Hess qui est fort ressemblant d'une certaine façon à Toulon et pour finir on voit bien plus les marionnettes, les fx de david allen sont au top, notamment les effets en stop motion.

Un 3ème volet maitrisé de bout en bout, une excellente suprise. 

Case départ
Enfilade de clichetons peu glorieux dans une comédie anémique, moche et mal surjouée.
Le renouveau de la comédie fr.

Tu vas voir Le crocodile du Botsawanga est encore pire.

Petite découverte pour moi : Tai Chi Zero
Le film ne se prend jamais au sérieux, il enchaîne les fulgurances visuelles de plus ou moins mauvais gout. Le film s'en moque totalement et en fait un fourre tout plutôt flatteur pour la rétine, notamment lors des scènes d'action magnifiquement chorégraphiées par Sammo Hung. Du grand n'importe quoi jouissif. Une sorte de Hyper tension en mode chinois. Et l’enchaînement des guests prête aussi à sourire. Vivement que je me mate la suite de ce moment de détente inattendue.

Adaptation très (trop ?) fidèle d'un des meilleurs roman du grand S. King, ce téléfilm ne laisse aucun détail du roman en retrait, ce qui donne un métrage interminable au rythme laborieux. Le casting s'en sort bien sauf Rob Lowe, inexpressif. Les effets spéciaux sont convaincants. Regardable si on aime le roman, soporifique pour les autres.

Elysium

Je profite de OCS pour revoir le film. Visuellement le réalisateur reste fidèle à lui même. Un univers épuré, peut être un peu trop d’ailleurs. Le revoir une deuxième fois met encore plus en avant le gros défaut du film : il ne raconte rien du tout. Un homme mis à mal par le système va essayer de le combattre.

Mais le film se résume à une course poursuite qui fait de son thème principal (les inégalités sociales Terre/Elysium) une sous intrigue transparente. Et quand cette sous intrigue est racontée, c'est de manière très manichéenne ton trop invraisemblable.

Le film reste un gros ratage et une déception encore plus grande la deuxième fois.

Like someone in love

Le film est d'une lenteur rare. Il raconte la vie quotidienne d'une étudiante japonaise obligée de vendre ses charmes pour pouvoir continuer ses études. les plans sont fixes et longs, les personnages ne parlent pas toujours, les scènes sont souvent très longues.

Et pourtant, le film m'a réellement captivé. C'est tellement réaliste et les thématiques traitées de manière tellement juste que j'ai rarement vu la solitude racontée de cette façon. Les personnages en deviennent touchants et attachants.

Vraiment, j'en revient pas d'avoir apprécié. C'est clairement le genre de rythme que je n'arrive plus à blairer. Donc étonnante surprise.

Ta critique sur Elysium me fait plaisir diez, j'ai l'impression que le film a pourtant été encensé un peu partout alors qu'il rate totalement le coche, c'est ni plus ni moins qu'un gros actionner très mal réalisé de surcroit ( c'est filmé beaucoup trop près pour qu'on comprenne ce qu'il s'y passe ) et bien entendu le pitch ( inégalités sociales ) passe quasiment à la trappe. 

Et puis Sharlto Copley est ignoble, faut arreter avec ces accents à la con dans les films, ça passe pas du tout en vf.

Elysium a eu des critiques mitigées voire mauvaises à sa sortie dans mes souvenirs

Cell, je parlais essentiellement des critiques vus sur les forums et notamment sur BREF quand on y étaient.

ça fait un bail que je ne lis plus les critiques de la presse, s'enflamment beaucoup trop vite pour pas grand chose généralement.

Devil's fire


Pas encore vu The Blues en entier, mais cet épisode restera sans doute en fond de classement. Charles Burnett goupille un docu-fiction plein de bonnes intentions mais totalement anarchique et incapable de tenir sa ligne de bout en bout. On alterne séquences fictives retraçant l'enfance du réalisateur et images d'archives, le tout sans fluidité. Le voyage vaut surtout pour la musique, mais même sur ce point on a rarement le temps de réellement profiter des performances de tous ces grands pionniers noirs du blues.

Technique :
Tout est recadré, des scènes fictives sans doute tournées en Scope aux images d'archives. D'où une grosse sensation d'inconfort et surtout des pixels à foison. La qualité de la piste son varie elle selon celle des archives.
Bonus :
Une interview minimaliste et c'est à peu près tout.

dou59 a écrit:Ta critique sur Elysium me fait plaisir diez, j'ai l'impression que le film a pourtant été encensé un peu partout alors qu'il rate totalement le coche, c'est ni plus ni moins qu'un gros actionner très mal réalisé de surcroit ( c'est filmé beaucoup trop près pour qu'on comprenne ce qu'il s'y passe ) et bien entendu le pitch ( inégalités sociales ) passe quasiment à la trappe. 

Et puis Sharlto Copley est ignoble, faut arreter avec ces accents à la con dans les films, ça passe pas du tout en vf.

En anglais son accent aussi est chiant. C'est juste pour donner un genre à son personnage, rien de vraiment cohérent. Belle deception.

Et j'ajoute à cette déception, mais plus attendu, After earth. Là aussi je voulais retenter le coup, on ne sait jamais. Mais c'est trop mauvais. Will Smith joue vraiment très mal, le réalisateur est absent total du processus artistique du film. sa réalisation est mauvais. Un projet dont il est surtout le larbin de la famille Smith... rien à retirer de positif du film finalement.

Lady Vengeance (director's cut)
 

Park Chan Wook conclut avec brio sa trilogie, menant une histoire moins complexe que celle de Sympathy mais autrement plus surprenante et juste dans son exploration du thème de la vengeance. Le réalisateur y superpose une dimension spirituelle et se lâche totalement dans ses élans de virtuosité, n'hésitant pas à dynamiter son montage.

En résultent une première partie délirante et jouissive, et une deuxième totalement hallucinante durant laquelle la rage atteint son paroxysme.

Autre pilier du film, la performance géniale de Lee Young Ae qui déploie une palette d'émotions tout simplement monstrueuse dans un rôle complètement atypique et mémorable. Choi Min Sik ne démérite pas non plus même si son personnage est plus manichéen, de même que le reste du casting parmi lequel on retrouve beaucoup de têtes connues vues dans les deux précédents films de la trilogie.

Au final, même s'il n'y a pas l'effet de surprise d'Old Boy, cela reste thématiquement et artistiquement le film le plus risqué et abouti des trois.

Technique :
Du boulot propre sur l'image et une piste DTS proprement excellente.
Bonus :
Une édition splendide, avec un packaging soigné, un beau livret, deux commentaires, les version cinéma et DC, et un disque de bonus courts mais foisonnants.

#diez a écrit:

Like someone in love

Le film est d'une lenteur rare. Il raconte la vie quotidienne d'une étudiante japonaise obligée de vendre ses charmes pour pouvoir continuer ses études. les plans sont fixes et longs, les personnages ne parlent pas toujours, les scènes sont souvent très longues.

Et pourtant, le film m'a réellement captivé. C'est tellement réaliste et les thématiques traitées de manière tellement juste que j'ai rarement vu la solitude racontée de cette façon. Les personnages en deviennent touchants et attachants.

Vraiment, j'en revient pas d'avoir apprécié. C'est clairement le genre de rythme que je n'arrive plus à blairer. Donc étonnante surprise.

Bonsoir,
C'est surtout très bien réalisé! Les interprétations sont justes. Quelles belles balades en voitures aussi non?
Une belle découverte pour ma part. Non ce n'est pas un film japonais (p.s)

Un colt pour 3 salopards


Bon petit western que ce Hannie Caulder, titre original du film, qui offre un superbe role à Raquel Welch ( beauté à l'état pur ) qui va petit à petit se déshumaniser afin de se venger de ses violeurs et meurtrier de son mari ( mention spéciale à Ernest Borgnigne très bon comme à son habitude ), elle va rencontrer un chasseur de primes qui va l'aider dans sa tache, campé par Robert Culp celui ci va lui apprendre le maniement des armes et en meme temps la transformer en tueuse implacable ( ce qu'il ne souhaite pas vraiment au fond ), cela donne de très belles scènes entre les 2, on a aussi la chance de retrouver l'immense Christopher Lee dans le role d'un armurier, le seul petit couac du métrage pour moi est la façon dont sont présenter les 3 frères, au début on a l'impression que ce sont d'impitoyables tueurs et petit à petit on se retrouve avec 3 nigauds ce qui donne lieu à quelques scènes de comédies, sentiment bizarre, mis à part cela j'ai été étonné par la violence frontale du film et la mise en image de Burt Kennedy qui s'inspire sur certains plans des western spaghetti ( les plans au ralenti ). 

Au final, une jolie surprise. 

Dohko a écrit:

#diez a écrit:

Like someone in love

Le film est d'une lenteur rare. Il raconte la vie quotidienne d'une étudiante japonaise obligée de vendre ses charmes pour pouvoir continuer ses études. les plans sont fixes et longs, les personnages ne parlent pas toujours, les scènes sont souvent très longues.

Et pourtant, le film m'a réellement captivé. C'est tellement réaliste et les thématiques traitées de manière tellement juste que j'ai rarement vu la solitude racontée de cette façon. Les personnages en deviennent touchants et attachants.

Vraiment, j'en revient pas d'avoir apprécié. C'est clairement le genre de rythme que je n'arrive plus à blairer. Donc étonnante surprise.

Bonsoir,
C'est surtout très bien réalisé! Les interprétations sont justes. Quelles belles balades en voitures aussi non?
Une belle découverte pour ma part. Non ce n'est pas un film japonais (p.s)

C'est assez inattendue comme film, la première séquence à de quoi rebuter. on ne sait pas trop dans quoi on met les pieds et on se demande surtout en quoi la suite pourrait bien être intéressante. Et puis très vite, notamment avec l'arrivée du vieux traducteur, le film prend une toute autre tournure et la réalité filmée devient alors hypnotique. Comme déjà dit, rarement vu la solitude mieux traitée au cinéma.

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Rubber

Quentin Dupieux est un réalisateur pas comme les autres. Son film c'est l'histoire d'une roue qui découvre la vie te qui se met à tuer des gens. Dans sa premiers partie le film est particulièrement inventif. En revanche sur ses 30 dernières minutes, l'idée s’essouffle, le film traîne et fini par perdre le spectateur. La très bonne réalisation, les trouvailles narratives et visuelles valent tout de même le coup d’œil. Un ovni.

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Guilty of romance

Thème principal : une femme japonaise, épouse soumise d'un célèbre écrivain est prise d'une soudaine envie de changer sa vie et d'assouvir ses différentes pulsions. Elle va entrer dans un engrenage inattendue qui là mènera autant à se libérer qu'à bouleverser le court de son existence. Le film qui commence comme un drame se transforme en thriller érotique teinté d'une touche bien trouvée d'épouvante. Long métrage très bien construit, personnages atypiques et histoire captivante. Une belle oeuvre de Shion Sono.

Shion Sono?

MdC a une influence sur ce forum, c'est indéniable :p

Guilty of Romance? Roman Porno Japonais des années 70!
Déjà traduire "crime romantique" par ce titre pompeux pour un film où l'auteur s'est perdu en route et m'a perdu aussi...
J'ai eu du mal à terminer ce film où le réalisateur continue dans la vulgarité et la répétition.
Ça commence comme un polar romantique sur une bourgeoise un peu coincée qui bascule dans la prostitution et se transforme en n'importe nawak où le réalisateur utilise n'importe quel prétexte pour mettre en avant la plastique de sa femme. Film prétexte et aguicheur!

Le scénario est à chier avec des trous d'airs ou de b...! Comment croire au dévergondage de notre bourgeoise mariée et coincée avec des scènes et des dialogues aussi niais. La bourgeoise GS panique pour rien et il suffit de lui demander pour qu'elle  des HUM HUM c'est invraisemblable, bref c'est un scénario de film de boules sans voir les boules    

Franchement il n'y a rien à retenir d'autre sur le personnage principal et quitte à montrer du sexe à l'écran autant aller droit au but... ça fait vendre!


Mention spéciale à la musique qui m'a fatigué et qui se répète en guise de fond sonore...

Bande de cochons, vous en voulez encore?

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Fion Sono!

vue le labyrinthe, bèh c'était pas si mal, intrigué j'attends la suite pour plus de réponses

Charlie's Angels 2
 

Après un premier volet surprenant qui savait bien tenir le juste milieu entre décontraction et action, cette suite renvoie les anges dans une caricature crétinisante. Ici on ne se soucie même plus d'une quelconque crédibilité scénaristique ou physique (ces combats...), les séquences s'enchaînent avec autant de logique que dans un épisode de Totally Spies. Même l'humour ras la moquette (RIP la carrière de Bernie Mac) ne parvient pas à placer le film dans le registre d'un gentil bonbon filmé, ce qui aurait été un moindre mal.

On peut quand même sauver quelques plans assez classes dans la mise en scène de McG, qui malgré tout ne parvient que très rarement à retranscrire l'exaltation cool procurée par sa sélection musicale pourtant géniale. On peut aussi prendre du plaisir devant la parodie de De Niro par Justin Theroux, et les brèves mais toujours jouissives apparitions de Crispin Glover en taré total.

Image :
C'est assez bon pour qu'on décèle tous les défauts des effets numériques et des excès de filtres.
Son :
Petite déception, ça reste brouillon.
Bonus :
Un McG très enthousiaste et omniprésent dans une pelletée de bonus. On peut pas lui enlever ça, il assume à fond, contrairement à d'autres !

Tout le monde déteste la femme de Ward et veut sa mort, Ward le premier. Mais lorsque les fantasmes meurtriers de ses amis deviennent réalité, ils doivent gérer de tout nouveaux problèmes — comme se débarrasser du corps et parvenir à se rendre à leur thé de 15h à temps.

Avis : le casting est composé de trois couples qui sont vraiment ensemble dans la vraie vie, mais qui ont échangé leurs conjoints, c'est assez rare pour être signalé et assez sympathique à voir. Malheureusement, l'humour inexistant ou raté, la morale douteuse (la femme est une vraie con***se, on la tue quasiment sans remords, la vie continue) et la réalisation accessoire font de ce premier essai de Scott Foley derrière la caméra un navet sans intérêt. Il manque assurément à ce film beaucoup de folie et une vingtaine de minutes en plus pour introduire quelques gags.

Turbulences à 30 000 pieds


Hautement sympathique que ce film, d'un coté on a un thriller en forme de huis clos où Ray Liotta en fait des caisses ( et j'avoue que j'adore ) face à Lauren Holly et de l'autre on est également face à un film catastrophe avec l'avion qui n'a plus de pilote, les 2 genres se marient à merveille et meme si les réactions des personnages sont parfois stupides, on lui pardonne tant on ne s'ennuie guère devant le spectacle affiché. 

Au final un thriller sur fond de film catastrophe qui ne paie pas de mine et fait le boulot avec efficacité, qui plus est la plus value va à un casting impeccable fait de tetes connues mais sans etre de véritables tetes d'affiche et une facture technique impeccable ( réalisation, éclairage, décor ).



Vu sur Paramount channel, copie très agréable à l'oeil.

ces derniers jours, le seul film que j'ai vue (enfin, j'ai essayé mais pas réussi à le finir) c'est ATLANTIC RIM, la pale copie du film de guillermo del toro

franchement j'ai rarement vue aussi mauvais, je sais pas qui réalise mais c'était du niveau d'un uwe boll, c'est pour dire le niveau
jeu d'acteur pourri, dialogues indigestes, FX à la ramasse caméra trés mal utilisé etc etc comment des gens peuvent donner de la tune pour des trucs pareil, c'est meme pas un nanars, c'est un navet, se film ne ferai meme pas rire une bande de poto bourré

Il doit y avoir un public pour ce genre de films vu leur nombre astronomique chaque année