Vos derniers visionnages
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Re: Vos derniers visionnages
Justement, on ne voit pas tellement les actes des enfants ce qui renforce selon moi la tension et la psychose. Une effusion de sang n'est pas toujours nécessaire.
Bref, cette ambiance bien pesante fonctionne plus ou moins ^^
Bref, cette ambiance bien pesante fonctionne plus ou moins ^^
Guigoune- Messages : 1940
Date d'inscription : 22/11/2014
Localisation : Somewhere over the Rainbow ma biche !
dou59- Messages : 885
Date d'inscription : 23/11/2014
Age : 44
Localisation : Tourcoing
Re: Vos derniers visionnages
Merci !
Guigoune- Messages : 1940
Date d'inscription : 22/11/2014
Localisation : Somewhere over the Rainbow ma biche !
Re: Vos derniers visionnages
Tout pareil que dou, c'est le must Les révolté de l'an 2000
Léo10- Messages : 5314
Date d'inscription : 20/11/2014
Age : 47
Localisation : Abbeville
Re: Vos derniers visionnages
D'habitude, dans les productions Disney le héros est lisse, or pour une fois, on se retrouve avec un personnage coureur de jupons, charlatan et cupide, bien entendu, au fil de l'aventure il changera mais louons le studio pour cette légère prise de risque.
Qui plus est, cet héros est joué par un des acteurs les plus doués de la génération actuelle, à savoir James Franco qui montre sa palette comique, face à lui on retrouve aussi 3 jolies demoiselles ( Michelle Williams, Rachel Weisz et Mila Kunis ) qui font le travail à merveille.
Si la plupart des metteurs en scène auraient mis cela en image sans la moindre inventivité, je pense notamment à Tim Burton qui était en pilote automatique sur son Alice au pays des merveilles, ce n'est pas le cas de Sam Raimi qui est vraiment inspiré pour le coup, on retrouve des plans signatures à la pelle, et il soigne chaque plan comme si c'était le dernier. On signalera également le score magistral de Danny Elfman.
Seul petit bémol, ce serait le design de la sorcière qui aurait mérité un travail plus soigné et élaboré.
Une préquelle du magicien d'oz enjoué et un régal de tout les instants, du blockbuster familiale signé par un as de la caméra.
Image : Hyper coloré, détaillé et aux couleurs chaudes.
Son : Excellent mix sonore.
dou59- Messages : 885
Date d'inscription : 23/11/2014
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Re: Vos derniers visionnages
Pas trop aimé ce Oz, à revoir en blu ray pour confirmer
Fiche bientôt
Fiche bientôt
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: Vos derniers visionnages
Pareil pour Oz. De l'esbrouffe visuelle qui ne raconte rien, le tout sans émotion. Bien aimé l'intro, bien qu'un peu longue. Et quelques idées intéressantes. Au dela de ca, ca manque de caractère.
Re: Vos derniers visionnages
Un jour sans fin version film de guerre futuriste, une sacré bonne idée qui plus est relancé par divers éléments qui arriveront dans le film, le tout campé par un Tom Cruise aussi à l'aise dans l'humour que dans l'action et une Emily Blunt bluffante en guerrière assez badass et cerise sur le gateau avec une mise en scène nerveuse et un montage bien dynamique. Certaines scènes sont scotchantes comme la première séquence de débarquement.
Petit bémol, pour le final que je trouve un peu abrupt.
En tout cas, une sacrée bonne surprise et la preuve indéniable que Tom Cruise est l'un des derniers grands acteurs ( quasiment 30 ans de cinéma et rares sont ces mauvais choix ).
Image : Très bonne avec des contrastes aiguisées.
Son : Du dts hd chez warner sur une piste française c'est bien, encore faut il que les dialogues ne soit pas autant mis en retrait.
dou59- Messages : 885
Date d'inscription : 23/11/2014
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Re: Vos derniers visionnages
J'ai trouvé la fin tellement mauvaise, que tout le plaisir que j'ai pris lors de la première partie du film a été gàché...
Re: Vos derniers visionnages
Le film est globalement moyen et lassant
Dave- Messages : 652
Date d'inscription : 21/11/2014
Age : 45
Localisation : Près de la Vilaine...
Re: Vos derniers visionnages
Saving general Yang
Grosse claque du réalisateur du Maitre d'armes. D'une légende toute simple Ronny Yu met en scène un spectacle épique comme on en voit plus beaucoup. Un 300 boosté aux scènes de bataille frénétiques, aux moments de bravoure électrique et aux combats sous tension.
La virtuosité de la mise en scène galvanisée par une bande-son qui donne le frisson. L'ensemble de la famille arrive à exister à l'écran, en découle quelques émotions fortes. Pourtant, en lui même le récit n'est pas trés developpé, c'est une histoire d'honneur. Mais raconté ainsi, c'est une réussite.
Sept frères partent à la rescousse de leur père mis en déroute par l'armée ennemie. L'histoire suit son cours, mais le film est comme monté à l'envers. On commence par les grosses scenes de guerre pour finir avec des duels plus confinés. Idée toute simple pour une monté en puissance originale et décuplée.
Pour être chiant, on peut regretter que certains moments ne prennent pas plus leur temps et également quelques plans ou les effets numérique sont visibles. Rien comparé à la générosité et au plaisir immédiat que procure le long métrage !
Un excellent bluray Uk.
Re: Vos derniers visionnages
Du cinéma décomplexé, aux personnages souvent très cons ( le sidekick dans le 2 t'as limite envie qu'il meurt tant il est lourd au possible ), mais au moins avec Bay on en a pour son argent et on voit le moindre dollar investi, je le dis encore plus fort d'autant que dernièrement j'ai vu le reboot des 4 fantastiques où t'as le comptable qui s'est tiré avec le budget, parce que voir un film qui ne t'offre rien ça me fait grave chier, résultat, ici je me suis éclaté, Bay donne tout ce qu'il a et offre du money shot à tout va, d'autant plus flagrant dans le 4ème opus que j'avais détesté au ciné et là meme si je vois les défauts je vois surtout les qualités, à commencer par une mise en scène impressionnante accouplé à des fx à la pointe, les transformations des robots qui était filmé de trop près au début ( épisode 1 et 2 ) sont filmés en plan plus large par la suite.
Du gros blockbuster qui offre ce que l'on est en droit d'attendre et meme les scénarios ne sont pas si cons, exception faite peut etre du second volet, Michael Bay je te kiffe.
le 2 :
le 3 :
le 4 : ( non, je suis pas d'humeur changeante )
Image : Top démo sur chaque volet.
Son : vu les 2 et 3 en vf, un dolby 5.1 qui fait peine et vu le 4 en vostf, quel bien fou pour les oreilles et au moins les robots n'ont pas une voix métallique comme c'est le cas en vf.
dou59- Messages : 885
Date d'inscription : 23/11/2014
Age : 44
Localisation : Tourcoing
Re: Vos derniers visionnages
Pas moi le premier m'a calmé
Léo10- Messages : 5314
Date d'inscription : 20/11/2014
Age : 47
Localisation : Abbeville
Re: Vos derniers visionnages
Pour moi c'est le plus abouti, le 2 se regarde malgré d,enormes longeurs, pqreil pour le 3, mais le 4.... outch. Illisible et pas tres passionnant.
Re: Vos derniers visionnages
Interstellar
Je ne vais pas revenir sur le film en lui même, un pépite mettant en perspective des théories scientifiques et les émotions humaines.
Je me rends juste encore mieux compte pourquoi le film va plus loin que son traitement spatial en dehors de sa technique, son esthetique et cie. C'est qu'en plus d'être un film de science-fiction avec pour enjeu sauver le monde de l'extinction, c'est que c'est avant tout un drame à échelle humaine. Le parallèle dressé entre la quête du héros et la vie sur terre de ses enfants est d'une importance capitale pour donner corps à ces enjeux qui dépassent l'esprit.
Bref, Interstellar fait partie de ces grands films de science-fiction et de ces grandes histoires racontant l'espace.
The breakfast club
Le film d'une génération. Et pourtant, impossible encore aujourd'hui de ne pas s'identifier à nos anciennes craintes d'adolescent, à un monde fait d'interdits et de pression. Le film est une parenthèse, mine de rien, joyeuse.
Comment exister quand on est qu'un enfant, Comment s'émanciper de la vie programmée par les adultes, comment faire voir au-delà des apparences, ... autant d'interrogations que ces jeunes traiteront avec panache et émotion.
Une belle réussite mélancolique qui vise juste. Finalement Spring breakers est la version 2.0 (en plus imagée) de ce classique des années 80.
Je ne vais pas revenir sur le film en lui même, un pépite mettant en perspective des théories scientifiques et les émotions humaines.
Je me rends juste encore mieux compte pourquoi le film va plus loin que son traitement spatial en dehors de sa technique, son esthetique et cie. C'est qu'en plus d'être un film de science-fiction avec pour enjeu sauver le monde de l'extinction, c'est que c'est avant tout un drame à échelle humaine. Le parallèle dressé entre la quête du héros et la vie sur terre de ses enfants est d'une importance capitale pour donner corps à ces enjeux qui dépassent l'esprit.
Bref, Interstellar fait partie de ces grands films de science-fiction et de ces grandes histoires racontant l'espace.
The breakfast club
Le film d'une génération. Et pourtant, impossible encore aujourd'hui de ne pas s'identifier à nos anciennes craintes d'adolescent, à un monde fait d'interdits et de pression. Le film est une parenthèse, mine de rien, joyeuse.
Comment exister quand on est qu'un enfant, Comment s'émanciper de la vie programmée par les adultes, comment faire voir au-delà des apparences, ... autant d'interrogations que ces jeunes traiteront avec panache et émotion.
Une belle réussite mélancolique qui vise juste. Finalement Spring breakers est la version 2.0 (en plus imagée) de ce classique des années 80.
Re: Vos derniers visionnages
Dans la Chaleur de la Nuit
En bref : un film policier tout ce qu'il y a de plus classique. Un enquêteur se retrouve confronté à une affaire où personne ne lui fera de cadeau et où les apparences sont trompeuses. Le point fort du métrage est son atmosphère oppressante. La nuit n'est pas seulement chaude et étouffante : le contexte racial vient parachever cette plongée pesante dans le sud de l'Amérique profonde, encore fortement ségrégative.
Sans pour autant parler d'objet sociologique (quoique), le film permet de montrer le traitement réservé aux personnes de couleur à cette époque. Le plus malheureux, c'est de constater que quasiment rien n'a évolué depuis les 60's.
La réalisation est classique, suivant un schéma bien définit : plans larges suivis de plans rapprochés, champ/contre-champ, légers travelings. Une certaine audace dans les mouvements de caméra (notamment une vue subjective lors d'une course poursuite) cohabite avec des codes ultra classiques de l'époque (rigidité des plans, zooms trop prononcés et focales anxiogènes).
Les acteurs sont très bons, Sidney Poitier en tête qui jouit d'un charisme sans faille. Ainsi, malgré les deux heures et un rythme assez lent, on ne ressent pas de lassitude sans pour autant trépigner à l'idée de découvrir qui est finalement le tueur.
Au final, on s'attardera donc plus sur la psychologie des personnages et la qualité de la mise en scène. Il faut louer la qualité des décors où ces ruelles de pleine nuit deviennent le théâtre d'un monde bien moins civilisé. Ainsi, l'enquête se suit sans déplaisir et le message est subtilement passé, sans sombrer dans un manichéisme idiot, tel "le blanc est bien trop méchant et bête pour reconnaître l'altérité en ce pauvre homme de couleur".
Toujours enrichissant de visionner ce type de métrages.
Aspects techniques : une belle image (remasterisation, upscale ?) qui se montre pauvre en couleur. Toutefois, cela colle parfaitement avec l'histoire. Le son par contre est excellent.
En bref : un film policier tout ce qu'il y a de plus classique. Un enquêteur se retrouve confronté à une affaire où personne ne lui fera de cadeau et où les apparences sont trompeuses. Le point fort du métrage est son atmosphère oppressante. La nuit n'est pas seulement chaude et étouffante : le contexte racial vient parachever cette plongée pesante dans le sud de l'Amérique profonde, encore fortement ségrégative.
Sans pour autant parler d'objet sociologique (quoique), le film permet de montrer le traitement réservé aux personnes de couleur à cette époque. Le plus malheureux, c'est de constater que quasiment rien n'a évolué depuis les 60's.
La réalisation est classique, suivant un schéma bien définit : plans larges suivis de plans rapprochés, champ/contre-champ, légers travelings. Une certaine audace dans les mouvements de caméra (notamment une vue subjective lors d'une course poursuite) cohabite avec des codes ultra classiques de l'époque (rigidité des plans, zooms trop prononcés et focales anxiogènes).
Les acteurs sont très bons, Sidney Poitier en tête qui jouit d'un charisme sans faille. Ainsi, malgré les deux heures et un rythme assez lent, on ne ressent pas de lassitude sans pour autant trépigner à l'idée de découvrir qui est finalement le tueur.
Au final, on s'attardera donc plus sur la psychologie des personnages et la qualité de la mise en scène. Il faut louer la qualité des décors où ces ruelles de pleine nuit deviennent le théâtre d'un monde bien moins civilisé. Ainsi, l'enquête se suit sans déplaisir et le message est subtilement passé, sans sombrer dans un manichéisme idiot, tel "le blanc est bien trop méchant et bête pour reconnaître l'altérité en ce pauvre homme de couleur".
Toujours enrichissant de visionner ce type de métrages.
Aspects techniques : une belle image (remasterisation, upscale ?) qui se montre pauvre en couleur. Toutefois, cela colle parfaitement avec l'histoire. Le son par contre est excellent.
Guigoune- Messages : 1940
Date d'inscription : 22/11/2014
Localisation : Somewhere over the Rainbow ma biche !
Re: Vos derniers visionnages
Un film qui si tu supprimes quelques moments absurdes, arrive à divertir.
Les gonnies
Beau retour en enfance avec un film aussi aventuresque que la trilogie Indiana Jones. Spielberg écrit un jolie récit plein d'entrain, d'humour et de rythme et Donner met tout cela en image avec panache pour un spectacle total.
Richard Donner est un réalisateur à la filmographie remarquable. Son cinéma est loin d'être cinéphile dans son sens le plus critique, mais demeure aussi essentiel. Entre sa saga L'arme fatale, son excellent western Maverick ou son Ladyhawke, Les gonnies s'inscrit dans cette grande lignée des films de divertissement haut de gamme.
Les gonnies
Beau retour en enfance avec un film aussi aventuresque que la trilogie Indiana Jones. Spielberg écrit un jolie récit plein d'entrain, d'humour et de rythme et Donner met tout cela en image avec panache pour un spectacle total.
Richard Donner est un réalisateur à la filmographie remarquable. Son cinéma est loin d'être cinéphile dans son sens le plus critique, mais demeure aussi essentiel. Entre sa saga L'arme fatale, son excellent western Maverick ou son Ladyhawke, Les gonnies s'inscrit dans cette grande lignée des films de divertissement haut de gamme.
Re: Vos derniers visionnages
Je te rejoins totalement, de l'excellent cinéma ! Sans oublier son 16 Blocs que je trouve bien trop sous-estimé !..
Guigoune- Messages : 1940
Date d'inscription : 22/11/2014
Localisation : Somewhere over the Rainbow ma biche !
Re: Vos derniers visionnages
J'aime bien aussi, malgré un Bruce Willis définitivement devenu inexpressif.
Re: Vos derniers visionnages
... un peu à l'image de Clones, mono-expressif ^^
Guigoune- Messages : 1940
Date d'inscription : 22/11/2014
Localisation : Somewhere over the Rainbow ma biche !
Re: Vos derniers visionnages
The fall
Splendide visuellement et bien plus encore sur une bonne moitié du film, ce sont les images qui créent l'émotion, plus que l'histoire qui passe par le filtre de l'imagination d'une petite fille. Film bancal au final.
Dommage que le BD ne ce hisse pas au niveau des images plus percutantes qu'un L'odyssée de Pi mais au rendu bien moins exploité dans notre format préféré.
Shérif Jackson
Savoureux. Le film gagne encore à la revoyure. Un 50hz de haut niveau mais qui n'en fait pas un BD top.
L'inconnu du Nord express
L'histoire est peut-être plus mineure, mais cela reste un must Hitchcockien. Bel écrin BD, malgré quelques rares outrages du temps et des aléas du tournage pas gommés ou ingommables. On aimerait voir une aussi belle galette sur des films bien plus récents.
Le samouraï
Ultra dépouillé et histoire minimale, la mise en scène précise, sauf peut-être sur un plan du quai de gare, fascine. Admirable.
Par contre le BD est pas loin d'être hydeux avec un lissage de l'image excessif et très vulgairement vidéo. A comparer avec la ba qui garde, elle, un bel aspect ciné. Flop qualité.
Splendide visuellement et bien plus encore sur une bonne moitié du film, ce sont les images qui créent l'émotion, plus que l'histoire qui passe par le filtre de l'imagination d'une petite fille. Film bancal au final.
Dommage que le BD ne ce hisse pas au niveau des images plus percutantes qu'un L'odyssée de Pi mais au rendu bien moins exploité dans notre format préféré.
Shérif Jackson
Savoureux. Le film gagne encore à la revoyure. Un 50hz de haut niveau mais qui n'en fait pas un BD top.
L'inconnu du Nord express
L'histoire est peut-être plus mineure, mais cela reste un must Hitchcockien. Bel écrin BD, malgré quelques rares outrages du temps et des aléas du tournage pas gommés ou ingommables. On aimerait voir une aussi belle galette sur des films bien plus récents.
Le samouraï
Ultra dépouillé et histoire minimale, la mise en scène précise, sauf peut-être sur un plan du quai de gare, fascine. Admirable.
Par contre le BD est pas loin d'être hydeux avec un lissage de l'image excessif et très vulgairement vidéo. A comparer avec la ba qui garde, elle, un bel aspect ciné. Flop qualité.
Invité- Invité
Re: Vos derniers visionnages
Les Gonnies c'est la suite des Goonies ?
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
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