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Si tu ne connais pas Masters of Horror au moins de nom je pense qu'il y a un souci

pourquoi? visiblement c'est un "truc d'horreur", ce qui peut deja expliquer en partie vu que c'est clairement pas mon genre préféré a la base(a quelques exceptions pres comme quelques films et series)

Pour t'initier Gaël je te conseille de regarder en premier le segment de Miike

Annabelle
Très fainéant. 4 effet relativement sympa jamais entretenus dans la narration. Et puis plus rien.
BD:TB

J'adore toujours autant le pitch, à savoir que le fait que les jouets sont vivants, ici, il est encore un peu plus poussé car on parle d'abandon, d'amitié, j'aime bien aussi le background fait autour du personnage de Woody à savoir qu'il avait eu droit à un tas de goodies dans les années 60. 

Après, c'est toujours aussi inventif, référentiel ( star wars, goldfinger, jurassic park ), drole, émouvant, la patte Pixar est bien présente de meme que dans le domaine technique où c'est toujours aussi beau et travaillé aussi bien dans le fond que dans la forme. 



Image : Au top, rien à y redire, limite top démo.
Son : Bonne dynamique d'ensemble.

Détesté à sa sortie, je l'ai adoré et préféré au 1er en le revoyant 10 ans plus tard et en découvrant à quel point il est intelligent et bien écrit ce TS2

Breaking Bad - saison 4
 

Que dire, encore une saison exceptionnelle, à l'image des précédentes. Scénario renversant, mise en scène millimétrée, atmosphère de fin du monde, acteurs toujours au top... Rien n'a changé, et le final offre des scènes mémorables malgré deux grosses fautes de goût. Avec un petit épilogue en plus, ç'aurait pu même être la conclusion de la série. Du coup j'ai un peu de mal à imaginer ce que la saison 5 réserve, et surtout comment elle va pouvoir garder le même niveau de suspense.

Image :  
Couleurs et piqué renversants, gâchés par de la rémanence.
Son :  
VO épique, quand elle s'emballe on est dans le top démo.
Bonus :
Enormément de bonus, avec plusieurs making of et des commentaires audio sur chaque épisode. Seul le module "dans les coulisses" n'apporte rien, sauf si vous voulez écouter les acteurs vous raconter l'épisode que vous venez de voir.

la saison 5 est la suite logique j'avais trouvé

Ben à la fin de la saison 4 tu te demandes ce qu'ils vont trouver à raconter sur une saison entière. Mais bon Gilligan est pas un branque, j'ai confiance.

J'ai trouvé la saison 5 en trop, la nouvelle intrigue ne vaut pas celle de la 4, surtout

Spoiler:

Mais je n'ai pas vraiment adoré cette série faut dire

Pompéi
Moins pire que prévu, le spectacle est sympa, l'histoire minime, reste plaisante malgré des personnages caricaturaux pour ce pitch "gladiator on the volcano façon 2012 meet une romance genre titanic". Le meilleur c'est pour la toute fin, pour une fois logique (le reste hein...). Beau BD, dommage pour le mix M6 qui met en avant les dialogues et atténue les coups de poings et de sabres et de ce fait anémie les bastons.

Cell a écrit:J'ai trouvé la saison 5 en trop, la nouvelle intrigue ne vaut pas celle de la 4, surtout

Spoiler:

Mais je n'ai pas vraiment adoré cette série faut dire

je pense que ma préférée est quand meme la saison 4 mais j'ai pas mal aimé la 5, a peu pres comme la 3, les 2premières je me suis assez ennuyé..

Comme Titanic ou Les évadés, un grand film à côté duquel je suis passé pendant plus de 20 ans. Fiche à venir

Vu au cinéma lors de sa sortie, je me sens de + en + vieux

Si le pitch de base paraissait sympa, avec son petit coté indiana jones qui n'avait pas encore été fait en animation, le résultat lui est loin d'etre terrible, d'une part on a du mal à s'attacher aux personnages, ensuite ça manque cruellement d'humour et quand il y en a ça tombe un peu à plat et pour finir l'animation fait plus penser à un série télé bas de gamme , pas folichon au bout du compte. 

 

Image : Rien à y redire, c'est coloré, vif, chaleureux. 
Son : Très bonne piste en dts hd.

L'hypnotiseur
Le classicisme d'Hallström n'empêche pas le film de ce montrer efficace de temps à autre. Le scénario ménage bonnes surprises et grosses ficelles dures à avaler. Ces dernières l'emportent. Dommage.
Le photographie comme sous gaze offre juste un BD très correct.

Cell a écrit:

infrared a écrit:Vu au cinéma lors de sa sortie, je me sens de + en + vieux

J'ai un pote qui va venir te saluer d'ici peu

Spoiler:

The Killer Inside Me


Déconcertant et ambigu, c'est le moins qu'on puisse dire. En choisissant de ne pas nous livrer toutes les clés de son personnage principal, l'adaptation du roman de Jim Thompson se met en porte-à-faux avec la voix off, ce qui frustre et fascine en même temps. Reste que Casey Affleck a beau se démener et rendre Lou Ford totalement imprévisible, le scénario peine à amener un développement intéressant. Et le film de se retrouver ironiquement victime de son propre tueur...

Image :
Si les noirs n'étaient pas aussi pâlots, la copie aurait pu être excellente.
Son :
Rien de spectaculaire, mais une VO impeccable et immersive.
Bonus :
Jessica Alba répond du mieux possibles aux questions navrantes du non moins navrant Laurent Weil.

Le mélange film de gladiateurs ( la série spartacus sans le gore ) avec film catastrophe ( du genre 2012 ) et romance au milieu de tout cela fonctionne parfaitement, sans conteste c'est la partie catastrophe que je trouve la plus réussie car visuellement impressionnante, la romance elle fait un peu cliché mais passe quand meme  et Paul WS Anderson de signer un bon film dans son ensemble. 



Image : Piqué dévastateur, noirs profonds. 
Son : Certains dialogues sont inaudibles car noyés par le reste, une habitude chez M6.

La légende d'Hercule
Réalisé vraisemblablement avec la version logicielle gratuite utilisé sur 300 dont il reprend les tocs sans l'étique ce film mou du scénario, de la violence, du casting, de la 3D, de certains fx... se regarde avec guerre plus d'intérêt qu'un péplum italien des 60's, la poilade en moins.
BD TB, le son n'est pas anémié comme pour celui de Pompéi.

Populaire
 

Au bout de 20 minutes j'en avais déjà marre. On sent dès le début venir le schéma classique présent dans absolument tous les films de compétition, mais on espère quand même que Régis Roinsard va s'en écarter, parce qu'on est pas à Hollywood et qu'il y a un beau duo d'acteurs en tête d'affiche. Mais la première impression était la bonne, le scénario ne surprend jamais et se complait dans un humour vieillot éculé depuis belle lurette.

L'intention était louable, mais proposer une comédie 50's acidulée et naïve n'induit pas forcément de rendre son histoire simplette jusqu'à l'écoeurement (une perle de finesse comme Bye Bye Love l'a bien prouvé). Une énorme déception de laquelle on peut juste sauver la reconstitution et, encore une fois, un tandem d'acteurs qui fait d'autant plus regretter le gâchis ambiant.

Image :
Sublime, à part sur quelques rares plans bizarrement plus granuleux.
Son :
Aucune faille, dialogues parfaitement intelligibles pour une fois, belle spatialisation des effets et excellente mise en valeur des thèmes musicaux.
Bonus :
Making of très soigné et complété par quelques featurettes, commentaire audio, une séquence en comparaison storyboard et quelques bricoles. Belle édition.

Le clan des siciliens
On a beau y faire atterrir un avion sur une autoroute (passons les fx), scénario et réalisation sont sobres et exemplaires. Capitaux us mais fabrication fr. Brillant, comment faire aussi bien ? Merci Mr. Verneuil, chapeau.
2-3 rayures en tout, pas d'un éclat top BD mais un look vintage et argentique seyant. Mais pourquoi le générique de début (+ un plan entre deux autres) entre 4 bandes noires ?

+1000000  

J'apprécie beaucoup le cinéma français de cette époque (Verneuil, Melville, Sautet et par la suite Corneau, etc..)

Femme de rêve


Titre français ridicule mais vrai bon téléfilm HBO. A travers le destin cramé de la top model Gia Carangi, Michael Cristofer dépeint 10 ans d'excès en appuyant sur sa peur maladive de l'abandon et sur ses addictions fatales, en même temps qu'il ausculte un american way of life qui se casse la gueule avec l'émergence du SIDA.

Si les premières minutes abusent de raccourcis réducteurs, le reste s'avère étonnamment réussi, parvenant à émouvoir sans artifices lacrymaux en redonnant vie à une Gia charismatique et attachante. La mise en scène n'a rien de honteux bien au contraire, alternant scènes intimistes et reconstitution kitsch des photoshoots et des runways 80's sans trop en faire. La scène d'ouverture qui prend un tout autre sens à la fin est un brillant exemple du sérieux de l'entreprise.

Mais le gros atout de Gia c'est évidemment Angelina Jolie, la vraie, celle que j'adore, à la fois punk, expressive, subtile, incroyablement sexy et surtout totalement investie dans son rôle, en un mot géniale. Une actrice, pas une star. De quoi regretter que plus personne depuis Clint en 2008 ne lui offre un vrai personnage à la hauteur de son talent.

Image :
Au-delà du grain épais, quelques soucis d'aliasing ou de compression, et des plans noir et blanc assez moches (est-ce d'origine). Malgré tout, le piqué reste acceptable, notamment sur les gros plans.
Son : 
VO 5.1 peu impressionnante sauf sur les musiques qui sont largement surmixées par rapport au reste. Ce qui n'empêche pas certains dialogues de saturer.
Bonus :
Nada.