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INTERSTELLAR

Nolan s'inspire de l'Odyssée de l'espace et de Solaris (le vrai hein) pour nous livrer son œuvre à lui, intemporelle et intersidérale et au combien intense.
Je l'ai ressenti comme une ode à la vie, une course contre la montre contre l'inéluctable, où l'homme ne récolte que ce qu'il sème, loin de se préoccuper de ce qu'il a pu provoquer, sinon trop tard.
Contrairement à ce que j'ai pu lire, je ne l'ai trouvé aucunement bavard, les Nolan allant jusqu'au bout de ce qu'ils avaient à dire et les 2h50 ne sont pas de trop.
Casting exceptionnel, bouleversant pour la plupart notamment côté féminin (Bran, Murph adulte et enfant) entraîné à bout de bras par l'oscarisé McConaughey capable de jouer comme Bale les transformistes pour tirer le meilleur d'eux-mêmes.
Effets spéciaux sidérants, mais pourquoi pas une version 3D. Il y avait matière pour cela (

Spoiler:

).
Enfin dans le genre il y a un avant et un après Interstellar tous comme les chefs-d’œuvre cités au début et Nolan devra changer de trajectoire si on ne veut pas penser qu'il a déjà livré son film ultime, ce qu'il n'avait pas déjà été très loin de réaliser avec Inception.

Touché en plein cœur

pour la 3D, en l'occurrence ce n'est pas une question d'avoir matiere a ou pas.
c'est simplement que nolan est farouchement opposé a cette technologie.
il avait d'ailleurs bataillé ferme pour qu'il n'yen n'ait pas sur "ses" batman et qu'au contraire il puisse utiliser l'imax ..

d'ailleurs y a pas de l'imax dans interstellar(il me semble avoir lu ça)?

Si y a de l'Imax
Je pense regarder le film ce soir

Perso, je suis assez impressionné par ces films qui en ne te proposant pas de la 3D t'offrent une immersion encore plus palpable qu'une film en 3D. C'est à ce niveau que Interstellar impressionne aussi.

Mais la 3D pour les passages cités aurait pour moi été un plus même si j'ai mis la note maxi

Idem, l'espace pour pour moi c'est le meilleur environnement pour la 3D.

Denise 

(denise avant/comme sur le gif pour moi )

carrément car maintenant elle fait peur

La nuit américaine


De base j'adore le cinéma qui parle du cinéma. pourtant, beaucoup d’appréhension avant de découvrir le film de Truffaut. Mes craintes étaient que ça ne parle que de romance et autres histoires d'amour.

Pourtant, dès la séquence d'introduction, l'incroyable séquence d'introduction, le réalisateur nous plonge au cœur de la production d'un film avec tout ce que cela comporte de plaisirs et de galères.

Le film est brillant, un enchantement pour l'amateur de cinéma qui découvre comment on tournait un film dans les années 70. Des astuces de tournage aux décisions rapide, tout y passe.

Un vrai documentaire de fiction qui la fabrication d'un film comme étant la plus belle chose qui soit. Car il s'agit bien de cela, une véritable déclaration d'amour au cinéma. l'ensemble du cast y croit, les sentiments sont vrais, la travail acharné communicatif et l'envie d'aller plus loin palpable.

Une belle réussite que je place au même rang que certains grands films du genre comme Une étoile est née, Chantons sous la pluie, The artist ou encore le très récent Maestro.

#diez a écrit:Rien que pour vos cheveux


Une bonne introduction et quelques gags amusants, mais l'indigestion arrive bien trop vite. Entre les clichés mal exploités et l'humour qui confine au mauvais gout, le long métrage se perd dans sa marrée d'humour absurde pourtant assumé. Vraiment mauvais. C'est à regret que je dis cela, car le film faisait juste partie de mes comédies américaines préféré il y a quelques années...

L'idée de caricaturer le conflit israélo-palestinien est une idée audacieuse, mais sont traitement est juste pas drôle. Et puis conclure le film en disant que en Amérique tout le monde vie heureux et ensemble c'est à gerber. Un pays plus communautariste tu meurs (expression utilisée par Vercingétorix avant sa capitulation devant Jules César).

Le genre de film à enterrer et à déterrer uniquement pour provoquer l'apocalypse.

(et chui généreux, car j'avais adoré le film la première fois...)

J'adore ce film, le barbecue, la levrette, les murs qui bougent..
Cette dérision à tout les étages, font que c'est une de mes comédies préférées.
Énorme ce film ! Comme quoi, les goûts et les couleurs..

Je hais les acteurs 


Pastiche des agents, producteurs et acteurs américains des années 30 sous fond d'une comédie policière.. 

Je n'avais jamais vu ce film auparavant et en fait, j'aurais du m'abstenir. 
Je me suis fait chier comme pas possible, on est dans une pseudo caricature de cette époque américaine au demeurant quasi réel des egos et du manque de savoir vivre et bonnes manières.. 
Au delà de ça, des acteurs installés que l'on a du mal à apprécier. 
Incroyable, comment on s'emmerde avec tout ce monde. Le seul que j'ai apprécier c'est Galabru en jeune premier de 50 ans qui surjoue ( pour le role) toutes les scènes. 
C'est pourtant bien fait et interprété, mais qu'est-ce qu'on se fait chier.

Riffhard a écrit:

#diez a écrit:Rien que pour vos cheveux


Une bonne introduction et quelques gags amusants, mais l'indigestion arrive bien trop vite. Entre les clichés mal exploités et l'humour qui confine au mauvais gout, le long métrage se perd dans sa marrée d'humour absurde pourtant assumé. Vraiment mauvais. C'est à regret que je dis cela, car le film faisait juste partie de mes comédies américaines préféré il y a quelques années...

L'idée de caricaturer le conflit israélo-palestinien est une idée audacieuse, mais sont traitement est juste pas drôle. Et puis conclure le film en disant que en Amérique tout le monde vie heureux et ensemble c'est à gerber. Un pays plus communautariste tu meurs (expression utilisée par Vercingétorix avant sa capitulation devant Jules César).

Le genre de film à enterrer et à déterrer uniquement pour provoquer l'apocalypse.

(et chui généreux, car j'avais adoré le film la première fois...)

J'adore ce film, le barbecue, la levrette, les murs qui bougent..
Cette dérision à tout les étages, font que c'est une de mes comédies préférées.
Énorme ce film ! Comme quoi, les goûts et les couleurs..

J’adorais aussi à l'époque. Depuis j'apprécie une autre forme de dérision pourtant pas si éloignée de celle du film.

Salt director's cut


Le film se veut être une sorte de Jason Bourne feminin, mais n'arrive pas à égaler la qualité d'écriture de la trilogie avec Matt Damon.

Le film est clairement plaisant à regarder, mais ses enjeux eux ne sont pas assez mis en valeur ce qui fait que le classicisme du projet n’emballe pas complètement. d'autant que les scènes d'action sont elles aussi très convenues.

Reste un film d'action agréable et porté à merveille par Angelina Jolie. Une suite pourrait éventuellement donner un peu plus d'ampleur aux idées du premier film.

Vu aussi "Interstellar" :

j'ai trouvé ce film déroutant au début, mais hallucinant dans son ensemble, par contre je pense ne pas avoir tout compris du film (un peu comme pour Inception).
et meme si je suis passé à coté de certains elements, je ne peux que féliciter tout le travail derriere ce monument de la SF. Nolan a t il revolutionné ou non la SF, chacun aura son avis.

Coté technique du BR ... de nombreuses scenes/plans sont en IMAX, ceux là beneficient d'une image remarquable. par contre pr le reste, je suis un peu déçu par le rendu visuel, surement dû au fait qu'il y a pas mal de sable et pas evident à bien afficher à l'ecran.
y a meme qqs plans en interieur assez sombre qui ne sont pas totalement "propres".
en resumé, je trouve que les scenes non "IMAX", manque de profondeur et de details.
Warner et Nolan nous a habitué des brs et une image bcp plus pointus (ex la trilogie Dark Knight ou Inception).
Est ce dû au fait que le film fasse 2h50, qu'il y a 2 pistes sons HD (d'ailleurs la VO est tout simplement sublime, un sans faute). donc j'attends de voir l'import us pr verifier si je constate les memes defauts (l'import us n'a qu'une seule piste son HD).

Il ne l'a pas révolutionné, il l'a juste remise à son plus niveau le plus métaphysique et spatial comme on ne l'avait pas vu depuis très longtemps.

Regardé hier soir, je vais faire la fiche de l'édition simple

Miami vice VL

Nouvelle deconvenue. Un film que j'avais apprécié au cinema eten dvd se trasforme en un long metrage difforme et ennuyeux. Le film a tous les gros defauts des derniers films de Mann. C'est mal raconté, atrocement mal exposé, des enjeux flous et un récit qui sabandone la ou il ne le devrait pas.

Je ne sais pas si c'est l'effet VL qui fait que le film est mauvais, mais il a perdu presque tout son charme....

En terme de mise en scene ca se defend, mais encore un fois Mann voit petit. La realisation est du meme niveaux. On peut avoir autant de superbes images que limpression dune image filmée avec un vieux telephone.

Deception... a revoir la VC pour cofirmer ou non.

Mince, je comptais me prendre cette VL, tu me refroidis !..

#diez a écrit:Miami vice VL

Nouvelle deconvenue. Un film que j'avais apprécié au cinema eten dvd se trasforme en un long metrage difforme et ennuyeux. Le film a tous les gros defauts des derniers films de Mann. C'est mal raconté, atrocement mal exposé, des enjeux flous et un récit qui sabandone la ou il ne le devrait pas.

Je ne sais pas si c'est l'effet VL qui fait que le film est mauvais,  mais il a perdu presque tout son charme....

En terme de mise en scene ca se defend, mais encore un fois Mann voit petit. La realisation est du meme niveaux. On peut avoir autant de superbes images que limpression dune image filmée avec un vieux telephone.

Deception... a revoir la VC pour cofirmer ou non.

j'aime pas tellement dans l'ensemble , mais y a quand meme quelques passages plus ou moins courts que j'aime beaucoup

pou l'image c'est un choix du real(dans collateral c'est le meme genre),mais c'est vrai qu'on se retrouve avec une image particulièrement "deguelasse" bien souvent du coup...

Je ne dis pas le contraire, je n'ai pas ce choix là. C'est pas qu'elle est dégueulasse l'image, mais c'est qu'elle n'a rien à faire là. C'est du hors propos total. Et dans ses deux derniers films c'est pareil. A mon avis c'est plus qu'un choix du réal', mais une manière de baisser les coups de production en utilisant une caméra moins coûteuse.

En tout cas la déception principal vient du récit en lui même.

Les goûts et les couleurs je discute pas mais alors là sur l'image je suis pas du tout d'accord, je sais pas si tu sors beaucoup la nuit diez mais pour moi l'atmosphère nocturne est totalement sublimée par le numérique (pourtant je suis pas fan de ces caméras d'habitude). Le résultat est très sensoriel, comme si on était avec les personnages depuis déjà plusieurs heures, comme si on manquait de sommeil ou comme si on avait quelques verres dans le bide. J'ai totalement retrouvé les sensations de la nuit, tout comme dans Collatéral. Et ça permet aussi de mettre en relief ce petit vent nocturne qui secoue les têtes des palmiers, le ciel qui se couvre, tous ces éléments qui semblent se réveiller et annoncer le déchaînement de violence de la fin.

Ce n'est pas recevable pour moi dans le sens ou Mann utilise ce genre de caméra à n’importe quel moment dans ses trois derniers films. Il y a de grosses variation entre les plans. Pour moi cela s'apparente plus à des coupes budgétaires qu'un véritable parti prit artistique. Et puis comme le film en lui même m'a déçu, les défauts m’apparaissent plus flagrants.

Je t'assure que c'est pas du tout le cas, Mann passe un temps fou avec son directeur photo à construire son esthétique, regarde les bonus (il me semble qu'il y en avait à ce sujet sur le BD de Miami Vice d'ailleurs) pour te faire une idée. Pour moi c'est ce côté visuel qui rend Miami Vice et Collatéral profondément réalistes et immersifs, mais je sais que c'est pas l'avis de tout le monde, tant mieux pour moi.