DVD, TV et VOD : visionnages
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Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Un drame romantique des plus émouvants, grâce à un couple principal attachant et une passionnante sous-intrigue se déroulant dans les années 40, où l'on retrouve notamment Oona Chaplin (Game of Thrones) et Jack Huston (Boardwalk Empire). Scott Eastwood se débrouille assez bien sans faire des étincelles, mais Britt Robertson contrebalance tout ça avec un personnage pétillant. Un beau petit film, si l'on accepte de baisser les yeux sur quelques scènes un peu "guimauve" propres au films de romance ricains et sur l'inévitable happy end (mais qui regarde ce genre de films en attendant une golden shower nécrophile à la fin ?)
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Je ne sais pas si c'est une bonne adaptation, mais pour moi c'est un sacré film. Atypique, gore, spectaculaire, Attack on Titan s'en sort bien malgré son histoire casse-gueule qui passe certainement mieux en manga. Les titans en question sont bien fichus, et leurs apparitions sont à la fois effrayantes et terriblement malsaines ; leur look aide beaucoup il faut dire, car si l'idée de voir des géants nus aux visages parfois cartoonesques dévorer vivants des gens peut en faire rire certains, cela m'a personnellement plutôt mis mal à l'aise. Les acteurs sont très bons également, même si l'interprète de Shikishima en fait des tonnes. Côté histoire, ça se suit avec intérêt mais certaines scènes plombent un peu le rythme et la romance est un peu loupée. Quant aux effets spéciaux, il y a du très bien et du correct, mais vu l'ampleur du projet et le budget que l'on devine assez inférieur aux superproductions Hollywoodiennes, ce film reste un miracle.
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Mondwest 2 : les rescapés du futur
Suite d'un classique imparfait, mais aux différentes thématiques porteuses, Futureworld est un long métrage qui présente autant d'idées fortes que mal exploitées. Dans l'immédiat, le film n'en reste pas moins divertissant, mais perd cependant une occasion de marquer durablement la science-fiction au cinéma.
En effet, comme Westworld signé Michael Crichton, le récit explore dans un premier temps le coeur du parc de loisirs parfait pour ensuite s'interroger sur l'envers du décor. C'est bien là que la proposition manque d'envergure. Les motivations des créateurs de ce parc ne sont dévoilées que lors du dernier acte, pourtant, elles constituaient un point d'ancrage idéal pour développer cet univers d'anticipation.
L'histoire était destinée à finir sur une note pessimiste, elle choisit malheureusement le banal happy ending. Si la réalisation manque grandement d'éclat, Futureworld reste un petit thriller efficace dans un univers singulier. Sa distribution est pleine de convictions et son thème musical principal immerge. L'oeuvre, aussi mineure soit-elle, ne déçoit pas complètement.
Superman
Violent coup de vieux dans les dents. Pas au niveaux des FX, c'est assez remarquable pour l'époque, mais au niveau du récit. C'est parfois très limité voir nanar. Le poeme recité par Lois, les sequences parodiques avec Luthor, ...
Cela n'empeche pas le long de livrer son lot de spectacle, dommage seulement que le traitement du heros soit limité dans la seconde moitié du film.
Suite d'un classique imparfait, mais aux différentes thématiques porteuses, Futureworld est un long métrage qui présente autant d'idées fortes que mal exploitées. Dans l'immédiat, le film n'en reste pas moins divertissant, mais perd cependant une occasion de marquer durablement la science-fiction au cinéma.
En effet, comme Westworld signé Michael Crichton, le récit explore dans un premier temps le coeur du parc de loisirs parfait pour ensuite s'interroger sur l'envers du décor. C'est bien là que la proposition manque d'envergure. Les motivations des créateurs de ce parc ne sont dévoilées que lors du dernier acte, pourtant, elles constituaient un point d'ancrage idéal pour développer cet univers d'anticipation.
L'histoire était destinée à finir sur une note pessimiste, elle choisit malheureusement le banal happy ending. Si la réalisation manque grandement d'éclat, Futureworld reste un petit thriller efficace dans un univers singulier. Sa distribution est pleine de convictions et son thème musical principal immerge. L'oeuvre, aussi mineure soit-elle, ne déçoit pas complètement.
Superman
Violent coup de vieux dans les dents. Pas au niveaux des FX, c'est assez remarquable pour l'époque, mais au niveau du récit. C'est parfois très limité voir nanar. Le poeme recité par Lois, les sequences parodiques avec Luthor, ...
Cela n'empeche pas le long de livrer son lot de spectacle, dommage seulement que le traitement du heros soit limité dans la seconde moitié du film.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Magic magic
Une américaine est invitée par sa cousine au Chili chez ses amis. Cette jeune fille sera mal accueillie, ignorée, .... Elle se refermare sur elle même jusqu'à commencer à perdre certaines de ses facultés mentales dans un monde qui n'est pas le sien...
Le film de pote qui vire au cauchemar a la mauvaise idée de faire dans la phase d'exposition interminable. Il présente aussi des personnages détestables et asociaux, ce qui est la grosse improbabilité du récit. Les réactions des amis de la cousine sont irréalistes et c'est ce qui lance la descente aux enfers du personnage américan...
Un film trop vide pour le peu de vrai contenu qu'il propose, beaucoup de remplissable pour arriver aux objectifs principaux. Juno Temple aussi grandiose soit-elle dans son rôle torturé sauve à peine un long-métrage qui se croit original et s'achevant de manière trop excessive... l'analogie avec le mal être des personnes ultras sensibles hors de leur environnement ne prend jamais.
Une américaine est invitée par sa cousine au Chili chez ses amis. Cette jeune fille sera mal accueillie, ignorée, .... Elle se refermare sur elle même jusqu'à commencer à perdre certaines de ses facultés mentales dans un monde qui n'est pas le sien...
Le film de pote qui vire au cauchemar a la mauvaise idée de faire dans la phase d'exposition interminable. Il présente aussi des personnages détestables et asociaux, ce qui est la grosse improbabilité du récit. Les réactions des amis de la cousine sont irréalistes et c'est ce qui lance la descente aux enfers du personnage américan...
Un film trop vide pour le peu de vrai contenu qu'il propose, beaucoup de remplissable pour arriver aux objectifs principaux. Juno Temple aussi grandiose soit-elle dans son rôle torturé sauve à peine un long-métrage qui se croit original et s'achevant de manière trop excessive... l'analogie avec le mal être des personnes ultras sensibles hors de leur environnement ne prend jamais.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Mission to Mars
Projet mort né, même le grand réalisateur qu'il est, ou était c'est selon, Brian De Palma ne pouvait pas sauver le projet du naufrage. Le film n'affiche aucune ambition narrative, il déroule son scénario sans jamais accorder de l'importance et de la vie à ses personnages. L'immersion également est impossible, Misson to Mars étant une succession d'ellipses aussi mal gérées les unes que les autres.
Le frustration finale ne va pas dans le sens de ce qu'aurait dû être le long-métrage à savoir une oeuvre sur la vie et les origines. Tout ceci est vain et n'abouti à rien de bien crédible tant le récit est charcuté de toutes parts. Ce même manque d'ambition qui t'expédie la moindre séquence sans jamais laisser germer les idées pourtant intéressantes qui s'y trouvent...
A noter une réalisation correct est une superbe séquence spatial (d'ou un sentiement de gâchis encore plus frappant)
Sunshine
C'est pour ce genre d'oeuvre que j'aime la science-fiction. Hormis son incroyable beauté plastique, qui donne envie de passer à la galette bleue (le DVD s'en sort avec les honneurs), Danny Boyle tente de donner vie à quelque chose. C'est moins un film de SF qu'un drame ou un thriller. Ici en toutes circonstances, se sont les réactions humaines qui sont racontées.
Petit grief parce qu'il en faut, la dernière partie du film change radicalement de style avec sa toute nouvelle thématique. C'est perturbant jusqu'à ce qu'on s'y fasse. Plus un truc sur un plan final peu marquant pas à la hauteur de l'oeuvre, le plan qui le précéde suffisait amplement.
A part cela, le point de départ est lumineux, commencer le récit par les derniers jours d'une mission pour sauver l'humanité. C'est ainsi au travers de personnages déjà marqués que nous découvrons ce qui est advenu du monde et de l'espèce humaine. Un huis-clos spatial plein de tension, d'action (toutes proportions gardées), d'intéractions et conflits captivants et d'émotions en tout genre.
Une distribution impeccable, une bande-originale en osmose avec une caméra libre, Sunshine est une véritable perle de la science-fiction contemporaine au cinéma rendu cohérent malgré son pilier scénaristique (la mission) assez improbable. Fort.
Projet mort né, même le grand réalisateur qu'il est, ou était c'est selon, Brian De Palma ne pouvait pas sauver le projet du naufrage. Le film n'affiche aucune ambition narrative, il déroule son scénario sans jamais accorder de l'importance et de la vie à ses personnages. L'immersion également est impossible, Misson to Mars étant une succession d'ellipses aussi mal gérées les unes que les autres.
Le frustration finale ne va pas dans le sens de ce qu'aurait dû être le long-métrage à savoir une oeuvre sur la vie et les origines. Tout ceci est vain et n'abouti à rien de bien crédible tant le récit est charcuté de toutes parts. Ce même manque d'ambition qui t'expédie la moindre séquence sans jamais laisser germer les idées pourtant intéressantes qui s'y trouvent...
A noter une réalisation correct est une superbe séquence spatial (d'ou un sentiement de gâchis encore plus frappant)
Sunshine
C'est pour ce genre d'oeuvre que j'aime la science-fiction. Hormis son incroyable beauté plastique, qui donne envie de passer à la galette bleue (le DVD s'en sort avec les honneurs), Danny Boyle tente de donner vie à quelque chose. C'est moins un film de SF qu'un drame ou un thriller. Ici en toutes circonstances, se sont les réactions humaines qui sont racontées.
Petit grief parce qu'il en faut, la dernière partie du film change radicalement de style avec sa toute nouvelle thématique. C'est perturbant jusqu'à ce qu'on s'y fasse. Plus un truc sur un plan final peu marquant pas à la hauteur de l'oeuvre, le plan qui le précéde suffisait amplement.
A part cela, le point de départ est lumineux, commencer le récit par les derniers jours d'une mission pour sauver l'humanité. C'est ainsi au travers de personnages déjà marqués que nous découvrons ce qui est advenu du monde et de l'espèce humaine. Un huis-clos spatial plein de tension, d'action (toutes proportions gardées), d'intéractions et conflits captivants et d'émotions en tout genre.
Une distribution impeccable, une bande-originale en osmose avec une caméra libre, Sunshine est une véritable perle de la science-fiction contemporaine au cinéma rendu cohérent malgré son pilier scénaristique (la mission) assez improbable. Fort.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Le BRD de Sunshine est en effet très beau
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Grrre, raison de plus pour craquer. Chui pas du genre à remplacer tous mes dvd par des bd, mais certains films le meritent !
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Prédictions
Alex Poyas s'offre ici un excellent point de départ et un final réussit. Seulement, on passe de l'un à l'autre en un clin d'oeil. L'investigation à peine lancée, il est déjà temps de conclure. Très frustrant pour un film au demeurant captivant.
Finalement, se sont les petits détails qui gâchent l'ensemble. Entre la caractérisation expresse des personnages, leurs intéractions réduites au minimum, la manière dont le héros commence à enquêter, l'autosatisfaction américaine ou encore les incohérences d'écriture qui facilitent drôlement l'avancée du récit, Prédiction passe à côté de ses idées en se pliant bien trop aux impératifs hollywoodien.
Alex Poyas s'offre ici un excellent point de départ et un final réussit. Seulement, on passe de l'un à l'autre en un clin d'oeil. L'investigation à peine lancée, il est déjà temps de conclure. Très frustrant pour un film au demeurant captivant.
Finalement, se sont les petits détails qui gâchent l'ensemble. Entre la caractérisation expresse des personnages, leurs intéractions réduites au minimum, la manière dont le héros commence à enquêter, l'autosatisfaction américaine ou encore les incohérences d'écriture qui facilitent drôlement l'avancée du récit, Prédiction passe à côté de ses idées en se pliant bien trop aux impératifs hollywoodien.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Trilogie Pusher ou Les Misérables des temps modernes
J'avais plusieurs fois repoussé le visionnage mais quelle erreur
On passe par tous les états. C'est marrant, triste, touchant, pathétique, violent, gore (le 3. Hostel 2 qui est sorti après a une scène quasi-similaire. C'est pas bien Eli, tu as copié)
3 films, 3 claques. A voir
Si quelqu'un a vu le 3, il y a un événement concernant un des persos qui m'est revenu en tête pendant le générique de fin
J'avais plusieurs fois repoussé le visionnage mais quelle erreur
On passe par tous les états. C'est marrant, triste, touchant, pathétique, violent, gore (le 3. Hostel 2 qui est sorti après a une scène quasi-similaire. C'est pas bien Eli, tu as copié)
3 films, 3 claques. A voir
Si quelqu'un a vu le 3, il y a un événement concernant un des persos qui m'est revenu en tête pendant le générique de fin
- Spoiler:
- Qu'est ce qu'il devient le mec dans le congélo ?
infrared- Messages : 1128
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Re: DVD, TV et VOD : visionnages
J'ai un excellent souvenir de ces films, j'espère une ressortie blu ray un jour
Ils sont différents et similaires à la fois, trois très bons films
Ils sont différents et similaires à la fois, trois très bons films
Cell- Messages : 4721
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Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Je crois que c'est le seul film sur Jason que j'ai vu avec le remake de Nispel. Toujours aussi fun et inventif dans le gore, mais avec des répliques stupides, des effets visuels risibles et des acteurs mauvais qui en font un nanar divertissant
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Vu au cinéma à l'époque, très con, mais tellement bon, le film est bourré d'idées farfelues, un très bon Jason, il faut dire que chaque année je me refais l'intégrale tant je suis fan du tueur à la machette.
dou59- Messages : 885
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Re: DVD, TV et VOD : visionnages
The fall
Cela fait très longtemps que j'ai vu ce film de Tarsem Singh. J'en gardais un bon souvenir esthétique, mais sans rien vraiment comprendre à son contenu. Ce nouveau visionnage m'a comme qui dirait ouvert les yeux sur les ambitions de ce projet monumental.
The fall raconte la vie et les vices de notre espèce avec cette amère poésie qui fait l'essence même de son récit. Les métaphores sont très faciles, mais le réalisateur ne s'en cache pas. Il filme un vrai conte où toutes les cultures et coutumes se mélangent pour une grande ode à la vie. Car en effet, l'espoir fait aussi parti de la finalité de toutes choses pour le metteur en scène. Il conclut de plus son oeuvre avec une magnifique déclaration d'amour au cinéma.
Tarsem Singh puise sa principale inspiration dans le documentaire culte Baraka. Il est clair que le point de départ de son envie de raconter ainsi le monde vient de ces images filmées sur plusieurs années dans les années 80/90 par Ron Fricke.
Le tournage du film s'est lui aussi déroulé sur plusieurs années dans certains des coins les plus reculés et plus beaux de la planète. Cela se ressent à l'écran. Pour envoûter tout cela, la musique de l'incroyable compositeur Krishna Levy ne manquera pas de donner encore plus de relief à une aventure mémorable.
Un authentique moment de cinéma.
Cela fait très longtemps que j'ai vu ce film de Tarsem Singh. J'en gardais un bon souvenir esthétique, mais sans rien vraiment comprendre à son contenu. Ce nouveau visionnage m'a comme qui dirait ouvert les yeux sur les ambitions de ce projet monumental.
The fall raconte la vie et les vices de notre espèce avec cette amère poésie qui fait l'essence même de son récit. Les métaphores sont très faciles, mais le réalisateur ne s'en cache pas. Il filme un vrai conte où toutes les cultures et coutumes se mélangent pour une grande ode à la vie. Car en effet, l'espoir fait aussi parti de la finalité de toutes choses pour le metteur en scène. Il conclut de plus son oeuvre avec une magnifique déclaration d'amour au cinéma.
Tarsem Singh puise sa principale inspiration dans le documentaire culte Baraka. Il est clair que le point de départ de son envie de raconter ainsi le monde vient de ces images filmées sur plusieurs années dans les années 80/90 par Ron Fricke.
Le tournage du film s'est lui aussi déroulé sur plusieurs années dans certains des coins les plus reculés et plus beaux de la planète. Cela se ressent à l'écran. Pour envoûter tout cela, la musique de l'incroyable compositeur Krishna Levy ne manquera pas de donner encore plus de relief à une aventure mémorable.
Un authentique moment de cinéma.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Willow
Le film de Ron Howard m'avait paru vieillissante la derniere fois que je l'ai vu, au point de ne pas pouvoir le finir. Et en le revoyant hier, je dois avouer que je me suis bien trompé. Willow est la petite copie bien foutue de l"oeuvre de Tolkien. On y retrouve des tonnes de similitudes plus ou moins assumées. La blanche neige de disney semble aussi avoir serbit d'inspiration à Georges Lucas. Copie ou non, Ron Howard réussit à mettre en scène un superbe moment de fantaisy largement rendu épique par le score devenu culte du regretté James Horner. Les FX piquent parfois les yeux, vaut mieux prevenir. A noter aussi certains evnements et personnages pas assez développés Mais au final c'est le voyage aventuresque dans les paysages de Nouvelle Zélande que l'on retient !
Le film de Ron Howard m'avait paru vieillissante la derniere fois que je l'ai vu, au point de ne pas pouvoir le finir. Et en le revoyant hier, je dois avouer que je me suis bien trompé. Willow est la petite copie bien foutue de l"oeuvre de Tolkien. On y retrouve des tonnes de similitudes plus ou moins assumées. La blanche neige de disney semble aussi avoir serbit d'inspiration à Georges Lucas. Copie ou non, Ron Howard réussit à mettre en scène un superbe moment de fantaisy largement rendu épique par le score devenu culte du regretté James Horner. Les FX piquent parfois les yeux, vaut mieux prevenir. A noter aussi certains evnements et personnages pas assez développés Mais au final c'est le voyage aventuresque dans les paysages de Nouvelle Zélande que l'on retient !
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Appelez-moi kubrick
John Malkovich impérial dans un film bancal. En effet, si l'acteur incarne avec malice et talent l'incroyable imposteur dont le long-métrage s'inspire, on ne peut pas dire que le scénariste Anthony Frewin et le metteur en scène Brian W. Cook aient profité d'un tel sujet pour se l'approprier dans l'espoir de donner naissance au penchant anglais du film de Steven Spielberg, Arrête-moi si tu peux.
Non, au lieu de cela les deux hommes se contentent tout simplement de déballer sans fil conducteur les déboires d'arnaqueur d'Alan Conway se faisant passer pour le réalisateur Stanley Kubrick. Et pour marquer le coup, le réalisateur utilise comme un gros boucher les bandes originales qui ont fait la renommée du cinéma du légendaire Kubrick.
Le flim multiplie les références en tous genres, mais au lieu de rendre hommage, c'est l'irrespect qui gagne un récit essayant d'assembler en un seul bloc les pièces de différents puzzles.
John Malkovich impérial dans un film bancal. En effet, si l'acteur incarne avec malice et talent l'incroyable imposteur dont le long-métrage s'inspire, on ne peut pas dire que le scénariste Anthony Frewin et le metteur en scène Brian W. Cook aient profité d'un tel sujet pour se l'approprier dans l'espoir de donner naissance au penchant anglais du film de Steven Spielberg, Arrête-moi si tu peux.
Non, au lieu de cela les deux hommes se contentent tout simplement de déballer sans fil conducteur les déboires d'arnaqueur d'Alan Conway se faisant passer pour le réalisateur Stanley Kubrick. Et pour marquer le coup, le réalisateur utilise comme un gros boucher les bandes originales qui ont fait la renommée du cinéma du légendaire Kubrick.
Le flim multiplie les références en tous genres, mais au lieu de rendre hommage, c'est l'irrespect qui gagne un récit essayant d'assembler en un seul bloc les pièces de différents puzzles.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Une comédie romantique un peu plus osée que la moyenne mais qui ne fait que montrer son potentiel sans l'utiliser. C'est plus souvent dramatique que potache quand on énumère les situations. On rit quand même parfois, on sursaute même (génial Timothy Olyphant à la fois hilarant et terrifiant) et on voit sa langue pendre jusqu'au sol devant une Elisha Cuthbert à se damner qui justifie à elle seule le visionnage.
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Bounty killer
Très agréable film bis. Certes ellipses de scénario ou de montage (le film coupe quelques images trop tôt, alors qu'il lui faudrait qqs img de +) pour palier au manque de budget et à des fx + complexe portent atteinte au résultat. Mais l'humour débile, le body count , la variété des mises à mort surprenantes (là le montage fonctionne souvent) et sanglantes et ce pitch altermondialiste ravissent. De même qu'un semblant d'émotion ici ou là. Un univers à la Tarantino/Rodriguez + un empreint à Mad Max 2 et 4 (oui, oui, voir ici le véhicule dans la pauv tempête de sable... pris certainement au 1er scénario du film). Du pur plaisir coupable. En plus maintenant je suis amoureux de Kristanna Loken en fausse blonde salope et tailleur sexy. Le film qu'on attendait pas de l'année (catégorie dtv).
Entre Tucker & Dale en mieux et Iron sky en moins bien. Normalement si vous avez apprécié l'un ou l'autre celui-ci devrez vous plaire.
OOPS (again) A voir dans la bonne section.
Très agréable film bis. Certes ellipses de scénario ou de montage (le film coupe quelques images trop tôt, alors qu'il lui faudrait qqs img de +) pour palier au manque de budget et à des fx + complexe portent atteinte au résultat. Mais l'humour débile, le body count , la variété des mises à mort surprenantes (là le montage fonctionne souvent) et sanglantes et ce pitch altermondialiste ravissent. De même qu'un semblant d'émotion ici ou là. Un univers à la Tarantino/Rodriguez + un empreint à Mad Max 2 et 4 (oui, oui, voir ici le véhicule dans la pauv tempête de sable... pris certainement au 1er scénario du film). Du pur plaisir coupable. En plus maintenant je suis amoureux de Kristanna Loken en fausse blonde salope et tailleur sexy. Le film qu'on attendait pas de l'année (catégorie dtv).
Entre Tucker & Dale en mieux et Iron sky en moins bien. Normalement si vous avez apprécié l'un ou l'autre celui-ci devrez vous plaire.
OOPS (again) A voir dans la bonne section.
Dernière édition par kub57 le Mar 15 Sep - 10:07, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Tu ne l'as pas vu en blu ray ?
Mauvais sujet si c'est le cas
Mauvais sujet si c'est le cas
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Lemming
L'ambiance glauque et oppressante de Harry, un ami qui vous veut du bien ou Qui a tué Bambi ? ne colle absolument pas à cette nouvelle collaboration de Dominik Moll et Gilles Marchand. Le récit met un temps gênant à mettre son intrigue principale en route, sa prestigieuse distribution n'arrive pas à élaguer la monotonie fatigante de sa narration. De bonnes pistes perdues dans un film qui auto-cite ses auteurs en mal d'idées.
Les maitres de l'univers
Pas loin du nanar attachant... mais non.
L'ambiance glauque et oppressante de Harry, un ami qui vous veut du bien ou Qui a tué Bambi ? ne colle absolument pas à cette nouvelle collaboration de Dominik Moll et Gilles Marchand. Le récit met un temps gênant à mettre son intrigue principale en route, sa prestigieuse distribution n'arrive pas à élaguer la monotonie fatigante de sa narration. De bonnes pistes perdues dans un film qui auto-cite ses auteurs en mal d'idées.
Les maitres de l'univers
Pas loin du nanar attachant... mais non.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
The mist
Des comportements humains gênants par leur incohérence dès les premières scènes du huis-clos. Des idées excellentes, mais l'écriture des personnages est catastrophique. Les conflits d'ego, d'intérêt et cie ne sont jamais crédibles et toujours amenés avec la finesse d'une vache sur un tabouret.
Entre ses moments de tension forts et ses héros tête à claque, le film m'a finalement perdu en plein milieu. "Qu'ils crèvent tous" que je me suis dit avant de supprimer l'enregistrement.
Des comportements humains gênants par leur incohérence dès les premières scènes du huis-clos. Des idées excellentes, mais l'écriture des personnages est catastrophique. Les conflits d'ego, d'intérêt et cie ne sont jamais crédibles et toujours amenés avec la finesse d'une vache sur un tabouret.
Entre ses moments de tension forts et ses héros tête à claque, le film m'a finalement perdu en plein milieu. "Qu'ils crèvent tous" que je me suis dit avant de supprimer l'enregistrement.
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
#diez a écrit:The mist
"Qu'ils crèvent tous"
C'est presque ça
infrared- Messages : 1128
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Age : 48
Localisation : Precinct 13
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Haha! Me suis arreté à la scène où les trucs volants arrivent à attaquer la boutique. Le summum de la parodie au cinéma, tellement con. ^^
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Perso j'adore The Mist avec notamment une fin différente de celle de l'excellente nouvelle de S. King mais néanmoins bien plus cruelle et réussie
J'ai pas tenu 30min, du found footage filmé avec les pieds et mal joué, immonde
J'ai pas tenu 30min, du found footage filmé avec les pieds et mal joué, immonde
Cell- Messages : 4721
Date d'inscription : 20/11/2014
Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Merde, t'avais bien commencé avec the mist cell, mais avec gallows tu m'as refroidi, car j'ai vraiment accroché.
Filmé avec les pieds et found footage, généralement c'est assez raccord, pas trop compris pour le coup.
Filmé avec les pieds et found footage, généralement c'est assez raccord, pas trop compris pour le coup.
dou59- Messages : 885
Date d'inscription : 23/11/2014
Age : 44
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Re: DVD, TV et VOD : visionnages
Du found footage pas filmé avec les pieds ca donne Chronicles par exemple. ^^
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