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Ah ok, mais ce n'est pas la moral du film, mais comme pour Nightfall une suite logique et inévitable des comportements. D'autant que le film ne parle pas directement de réussite en évoquant à plusieurs reprises le sort dramatique d'un ancien élève ou d'artistes pro qui ont eu le même parcourt. J'ai vu les choses ainsi perso.

C'est sûr qu'il n'y a pas de morale direct on va dire. Et puis ça reste qu'une histoire, il ne faut pas prendre le cinéma pour la réalité.

Yep.

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Un homme idéal. Il faut saluer avant tout la tentative de proposer ce genre de thriller. Malheureusement comme beaucoup de films US, celui-ci cède bien trop rapidement à la facilité et conclu son histoire sur une incohérence incroyable en oubliant tout simplement d'en finir avec un élément important qui aurait modifier toute la fin du long métrage.

Aussi superbe soit a prestation de Pierre Niney, le film hésite. il en devient maladroit et incomplet. Un film du genre se doit d'être ficelé au millimètre sans croire que le spectateur ne verra pas telle chose ou telle autre.

La réalisation aussi peut offrir des belles choses, mais souvent elle botte en touche sans mettre en scène le suspens. L'angle est bon, son traitement décevant.



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Big eyes. Tim Burton de retour à un cinéma plus formel. Il raconte l'histoire vraie d'une peintre qui s'est fait voler son identité artistique par son mari obsédé par la gloire. Le duo Christopher Waltz/Amy Adams est génial.

Se cache derrière cette triste histoire un second degrés bienvenu. Le film en devient autant sérieux qu'amusant. Un côté légèrement décalé que n'auraient pas osé la plupart des réalisateurs de biopic. 

On ressort du film autant diverti par les touches d'humour involontaire de Walter que touché par la destiné touchante de Margaret. Et pour finir on est enchanté de voir que Tim Burton, bien que loin de son univers et malgrès quelques fausses notes, n'a pas perdu son talent de conteur.



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Hacker. Après un dernier film extrêmement décevant, Michael Mann est de retour avec un cyber thriller. Il introduit son histoire de bien belle manière avec des attaques aux conséquences dramatiques. un centrale nucléaire explose, Wall Street est en panique suite à un autre type de hack...

Commence ensuite la traque de ce cyber criminel par un ancien hacker. Et tout d'un coup, le fond disparaît. L'ensemble de l'histoire se résume à une banale poursuite d'un hacker par un autre. Les conséquences possibles ne sont évoquée qu'à la toute fin, les enjeux sont réduit au minimum. Indubitablement, sur la longueur le film lasse.

Mann essai de donner du caractère à ses personnages. mais la tentative reste vaine, leurs objectifs étant plus que limités. pourtant on sent que le grand monsieur à encore du talent. certaines scènes sont bien foutues, mais ne forment pas une continuité de qualité en additionnant toutes les scènes.

La réalisation oscille entre les nombreux plans caméra épaule low cost avec personnages filmés de dos et de la mise en scène recherchée avec de superbes plans. Ce grand écart qualitatif fait beaucoup de mal au film.

Big eyes
Ceci n'est pas "un Tim Burton". C'est pourtant le meilleur film du réalisateur depuis bien longtemps. Réussite des scénaristes, ceux de Ed Wood, qui réitèrent la bio outcast (Qui sont les Kean ?) et décalé. C'est plutôt une histoire qu'un tranche de vie d'untel qui nous est compté. Gloire à la vo qui se joue avec l'association big et le son "ail"
TB n'est pas en retrait, cette réalisation gagne en maturité et finesse. On se retrouve un peu en spectateur de Burton comme le spectateur de l'histoire, quand la peintre pour retrouver le droit à une légitimité artistique, revendiquer des tableaux, évite les Big eyes pour créer des peintures différents tout en gardant des similitudes avec son style. Ici un univers coloré appartenant aussi bien à la peintre qu'à TB ou quand Waltz (beau personnage de mytho) fait un numéro proche de J. Depp dans une scène de tribunal très drôle et en décalage de ton avec le reste du film, plus romantique, sentimental et à l'ironie subtile.
Ne pas oublier le beau boulot de DP fr Bruno Delbonnel et la musique d'Elfman en rapport avec ce film, loin des musiques des autre TB.
Déçus de Burton, retrouvez le au meilleur et lui-même, le réa, à l'image de ses personnages de sa filmo, différent et décalé. Un nouveau souffle ?



Divergente 2
Ds la série des adaptations pour ados en conflit entre clans dans des zones, l'univers de Divergent se confirme le moins ridicule et la réalisation plus dynamique. Bon cela reste bien gentil, juste un spectacle manufacturé correctement.



The voices
Pas vraiment le film que j'attendais, moins loufoque, moins potentiellement gore fun, mais bcp plus sérieux niveaux psychose.
En nous offrant une version sans et avec pilule (bravo le montage sur la déco), vision subjective et objective, l'intérêt apparaît tout entier dans cette déformation de la réalité de ce personnage de base sympathique, sérial killer quand un trauma réapparait. En plein dans sa peau. Pas une révolution, le décalage dû à la prise de drogue, ici à la non prise de psychotrope légaux, c'est déjà vu et en bien mieux (bah Inherent vice dans la sale d'à côté). Voilà de quoi relativisé le fondement d'être sous médoc. Jolie cast avec une Gemma qui porte avec ravissement quelques kg en trop (Marjane...?) et l'air ahuri d'un Reynolds bien à son personnage qui se construit une filmo alternative après Captives. Un agréable film qui se termine en Happy song énergétique.

Crosswind
Beau, 3D like et hypnotique, fort quand un événement narré supplante une description plus quotidienne, un peu vain en même temps. Pas vraiment un tourbillon dans cet ersatz de plans séquences en "fondu enchainé" sur des photos live, Bullet time à budget arty. C'est un peu la limite du concept, à voir une fois, mettant en lumière une déportation, un forfait Stalinien de plus. Pas garantie que le film gagne un prix en urss proutinienne.


Lazarus effect
La nouvelle Lucy s'appelle Zoé. Les chemins différents pour un même résultat catastrophique, atteinte au bon sens et au bon goût. Le chien jour très bien son spleen, pas grand chose de sauvable, mais c'est déjà çà. (C'est un Metropolitain, possiblement un QOL, si l'avertissement sur le navet avéré vous à pas suffit pour vous incité à faire des économies...)


Hacker
Sérieux, un film sur les dangers, réels, du tout connecté dans un scénario si simplet ? Les hackers doivent bien se marrer. Mann continue sa déchéance. Formaliste misérable avec sa caméra très vidéo, très dégueulasse dès que porté à l'épaule. Même bouilli dans le traitement de ces personnages, du réchauffé.
C'est quoi un scénar qui présente 5 gars lourdement armées tirer sur un panneau dans une rue déserte sur 2 personnes sans possible riposte sans faire un pas vers eux? Et puis ces entrées dans un PC, pas un peu daté,  lourd et long? Là on craque la NSA et pas un système bluethoot...?.
Allez, du relativement bon quand même, rien qui ne veux faire dans la surenchère, le récit est tranquille, avec juste une ou deux pointes de fight, juste violent comme il faut.
Pour le reste, ridicule.

Cool pour Big eyes, un beau film d'un réalisateur culte.

Pareil pour Lazarus effect. Mauvais, soporifique et désincarné. Les jump scare prévisibles et hors contexte, le côté fantastique qui ne débarque que trop tard, les personnages plats, ...

Vous avez fait le plein de films ! Merci pour ces retours !

Oui merci, perso je ne prévois pas d'aller au ciné avant la sortie d'Avengers 2

Idem, même si j'étais plus ou moins tenté par Big eyes, c'est vraiment Avengers 2 que j'attends !

Bande de vendus !

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A trois on y va
Critique excessivement enthousiaste. Autant que le genre, le film est bien balisé malgré son postulat de départ et son triangle amoureux original. Le trio d'acteur est excellent avec une préférence pour l'excellente et lumineuse Anais Demoustier. Mise en scène limité, mais film intéressant dans sa première et troisième partie. La deuxième partie tourne en rond et fatigue et l'idée final arrive comme un cheveu dans la soupe pour finir par gâcher tout le film. Un presque bon film qui aurait dû débloquer son intrigue bien plus tôt que ce que le long propose. 

Voyage en Chine
J’espérais y retrouver les magnifiques voyages proposé par Le promeneur d'oiseau et le récent Tokyo fiancée. Le dépaysement est bien moindre, mais La force du regard de Yoland Moreau m'a presque bouleversé. Cette actrice est tout simplement génial autant dans la comédie que dans le drame. elle arrive à rendre un film limité attachant. Limité dans le fond et dans la forme. Mais les quelques moments de culture chinoise font beaucoup de bien. La deuxième moitié du film est donc logiquement meilleur. Un long que j'aimerais bien revoir. 

Cendrillon
l'un des plus mauvais Disney animé pour moi restera à jamais Cendrillon et ses souris qui bouffent une bonne partie de l'histoire. J'ai pourtant passé un bon moment devant la version live qui est pourtant un adaptation très fidèle au dessin animé (sans la présence outrancière des souris). Cendrillon fait moins cruche, mais est loin d'être la femme forte annoncée. Ce qui pourra décevoir en dehors d'une mise en scène très plan plan et sans envergure, c'est que l'histoire est exactement la même que l'originale et que donc côté surprise c'est un peu mort. Coup de cœur pour la marâtre incarné par l'excellent Cate Blanchett. Le plaisir qu'elle prend à incarner ce personnage détestable est palpable. Dommage seulement que son rôle ne soit pas plus développé. un bon moment à passer en famille. 

Fast & Furious 7



Toujours aussi fou, toujours plus bourrin, créatif, improbable et donc jouissif, un pur moment de détente. Suspension consentie de l'incrédulité obligatoire tant certains vont râler à la vue de certaines scènes folles , mais c'est cela que l'on aime !

Tatane est parfait dans son rôle. Tony Jaa est une tuerie Kurt Russell s'intègre lui aussi très bien.

James Wan et son équipe on fait un travail formidable, la complexité de certaines scènes est impressionnante. La réalisation est rafraichissante, puisque l'on retrouve cette envie inhérente chez Wan de pondre ces plans qui sortent de l'ordinaire et ne guère se contenter de simples "champ/contre-champ".

Bref, des facilités comme évoqué précédemment néanmoins le plaisir prime. Pourquoi bouder. Et rien que pour Paul Walker...

OMG :

Verdict ce soir pour moi, mais bon, James Wan + F&F = je risque bien de mouiller mon froc

J'espère que tu apprécieras. Ne cherche pas un scénario supra élaboré, profites simplement du spectacle car rarement un Fast (voire un film du genre) aura été aussi généreux. Et puis, rien que pour une certaine punchline de The Rock vers la fin

T'en fais pas j'adore la saga et les blockbusters bourrins
Le 6 était déjà super fun, c'est typiquement le genre de films pour lesquels je suis heureux de payer une place de ciné

Amen

Fast and Furious 7


Totalement impropable, nawak au possible dans ses scènes d'action et pourtant jouissif et mortel, c'est bien simple il s'agit du meilleur épisode de la saga. 

Le casting est optimisé comme il faut ( Statham démonte en méchant de service, il est ultra badass, on à droit également à Tony Jaa et Ronda Roussey  qui offre des prestations des plus convaincantes et athlétiques, Vin Diesel toujours aussi bourrin, de meme que the rock ( qu'on voit un peu moins mais dès qu'il est là il est juste énorme ), Tyrese Gibson toujours dans le role du comique de service et Paul Walker dans son dernier role qui a droit d'ailleurs à une très belle séquence hommage à la fin ( merde, j'ai chialé tant la démarche semble sincère et vraiment l'impression d'avoir perdu un proche ). 

Coté réalisation, James Wan assure grave et me fait oublier la déception Conjuring, tant il offre des plans de fous ( accéleration d'images, plan à 360° ) et quel rythme de malade, c'est simple ça ne s'arrete pas une seule seconde durant les 2h15 de métrage, on croit que le clou du spectacle est au milieu et derrière on réussit à donner encore plus, c'est juste fou, un film d'action qui donne dans la démesure et qui le fait très bien, j'en redemande. 

Un homme idéal
Film noir sympathique mais un peu trop convenu. Il manque passion et fièvre pour que ce soit autre chose qu'un simple spectacle, agréable mais sans plus.

Selma
Pas vraiment une bio en ne s'attardant que sur quelques jours de la vie de M. Luther King. Mais le film ne décolle pas d'une réalisation  bien sage tel que la bio officielle lambda. Selma n'est pas 12 years... d'où sa probable "blaklist" (meilleur c'est déjà bcp) justifié et non condamnable aux Oscars.

Gente de bien
Bien du mal à comprendre ce que raconte ce film sinon une tranche de vie triste et mollassonne. Rien auquel se raccroché, pas même au cadre Colombien.

A trois on y va
Des hauts et des bas dans cette comédie romantique qui promet plus qu'elle ne tient. Plus dans les standards du bas des films du milieu. Un trio bi (ouf, celui qui fait triper les mecs) plaisant. Quelques dialogues, scènes, éléments de décors (comme le nom du café) donnent le change à une histoire qui se poursuit, sans véritable raison, vers une résolution de plus en plus sage.

Diversion
Le blem avec ce genre de scénario sur des escrocs, c'est qu'il faut assuré et être très malin ou au moins être fait avec bcp de classe. Ici la classe serait celle apporté par une chaine de prêt à porter trop populaire aux coutures apparentes.

Haha on a les avis de FF7 et juste après les films d'auteur de kub

Sinon



Alors déjà j'ai payé 11,40€ la place en VOST, parce que je n'avais pas pris ma carte étudiant pour bénéficier du tarif. Put** de merde je suis pas fan du téléchargement mais à ce prix là je plains les familles nombreuses

Sinon bah épisode dans la lignée des deux précédents, de la surenchère, de l'action non stop et de l'humour. Les scènes d'actions sont tellement improbables que la salle riait à chaque fois (mais de bon cœur). Par contre les séquences émotions sont ridicules, c'était un peu moins insistant avant. Je pense notamment à la relation Dom/Letty, même si j'étais heureux de voir que rien n'est laissé de côté et qu'on n'oublie pas son traumatisme. Ah et la BO m'a fait saigner des oreilles mais bon, c'est pas mon style.

Superbe hommage (un peu tire-larmes mais sincère) à Paul à la fin.


Un brin moins bien que le 6 je trouve

Dear white people

Le film avant de parler de racisme anti noir, parle du communautarisme ambiant dans les université d’Amérique. La comédie se démarque de ce qui peut se faire habituellement dans le genre et avec ces thématiques.

Le film interroge et finalement se pose les bonnes questions et les traite avec humour et sincérité. Quelque soit la couleur tout le monde en prend pour son grade. Le film se démarque aussi par l'utilisation pertinente de musiques classiques et s'offre une narration plutôt fraîche.

Un bon film qui évite les lourdeurs dramatiques que nous impose trop souvent ces thématiques.



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Still Alice

Impeccable prestation de Julianne Moore vaut le détour et tous les honneurs. Malheureusement le sujet de la maladie d’Alzheimer est traité artificiellement avec pour unique objectif de plaindre le personnage principal et donc de tirer la larme à chaque séquences.

Reste bien entendu des temps fort comme le discourt et la découverte de la maladie, mais au final à trop vouloir faire pleurer le spectateur le film s'offre des séquences absurdes et incohérentes (celle du téléphone retrouvé).

Une actrice géniale, une belle idée, mais un angle raté.



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Cerise

La nouvelle mode de la comédie française c'est de délocaliser à l'étranger son terrain. Après l’excellent Tokyo Fiancée au Japon, l'émouvant Voyage en chine... en Chine !, cette année nous propose Cerise et sa découverte de l'Ukraine en pleine révolution.

L'histoire n'est pas un exemple d'originalité. une gamine un peu difficile va rencontrer pour la première fois son père qui vie en Ukraine. Elle y découvrira à travers un voyage culturel un autre vision de la vie. Sa superficialité fera place à la sincérité des sentiments.

Le traitement le l'histoire lui est plus frais et permet un jolie décalage au film entre réalité et rêveries adolescentes. Une comédie du sourire illuminé par Zoé Adjani-Vallat et Tania Vichkova.



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Journal d'une femme de chambre

Trois points forts : Léa Seydoux, Clotilde Mollet et Rosette. Mis à part ce très beau trio d'actrice, le film se raconte mal. La romance bancal n'est pas crédible, la reconstitution historique se limite à quelques morceaux de terre et la mise en scène ne se foule pas trop. Un petit téléfilm qui a eu le droit à la case ciné pour son très bon casting. Autrement, rien à retirer d’intéressant.



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Fast and furious 7

Le film d'action se permet tous les excès. Une fois la deuxième grosse séquence d’action en route, le film ne s’arrête presque plus. En mode film catastrophe qui met de côté toute crédibilité.

Cet épisode s'offre des guests de luxe comme Djimon Hounsou, Kurt Russel ou Tony Jaa, mais surtout se démarque des autres Fast par sa mise en scène de haute volée et certains de ses plans parfaitement exécutés.

Il faudrait juste éviter qu'en dehors de l'action les scènes soit aussi chiantes. Pas toujours, mais souvent c'est trop répétitif en mode on se touche la nouille on est les meilleurs. C'est comme ça depuis le 4 ou le 5, faudrait peut être changer les dialogues pour le prochain.

Un prochain film qui aura fort à faire pour détrôner le condensé d'action généreusement offre par cet opus. Un bel hommage lors de la séquences finale qui en effet parait être une démarche sincère et non excessive.

Cell a écrit:Haha on a les avis de FF7 et juste après les films d'auteur de kub

Boycott de FF7 grâce à un FF6 qui me fait encore mal.
Je le prendrais peut-être à la médiathèque en dvd (mérite pas plus)
Comme j'ai boycotté le film pour pisseuse (enfin mouilleuse facile). Parce qu'en plus FF7 fait pleurniché toutes les jeunes filles dans l'âme...

Cool ces excellents retours sur Fast , il met quasiment tout le monde d'accord !

kub57 a écrit:Parce qu'en plus FF7 fait pleurniché toutes les jeunes filles dans l'âme...

Vas-y mollo là stp, l'acteur est décédé et on lui rend un joli hommage à la fin, c'est émouvant et je ne reprocherais pas à quelqu'un de verser sa petite larme comme dou l'a fait

On a tous une jeune fille dans l'âme de toutes façons. Même ceux qui ont un pénis comme Cell (private joke ).

Laisse moi plutôt pleurer Robin Williams, sa disparition de la vie, et précédemment des premiers rôles.