Paprika

Réalisateur : Satoshi Kon †
Durée : 1h30
Année : 2006
Editeur : Sony
Format image : 1.85
Region : A, B, C

Langues : Japonais PCM 5.1 / Japonais, Français, Anglais, Allemand, Tchèque, Italien, Espagnol, Polonais DD 5.1
Sous-titres : 24 dont français et anglais

Bonus (tous sous-titrés, en SD) :
- Commentaire de l'équipe du film
- Making of
- Jusqu'au bout du rêve : table ronde avec les doubleurs, le réalisateur et l'auteur du roman
- Un monde de rêve : entretien avec le directeur de l'animation et le directeur de la photo
- L'art de l'imaginaire : entretien avec le directeur artistique
- Storyboards et animation : La parade / Les ruines / L'incision
- Films annonces

Résumé :
Dans le futur, un nouveau traitement psychothérapeutique nommé PT a été inventé. Grâce à une machine, le DC Mini, il est possible de rentrer dans les rêves des patients, et de les enregistrer afin de sonder les tréfonds de la pensée et de l'inconscient. Alors que le processus est toujours dans sa phase de test, l'un des prototypes du DC Mini est volé, créant un vent de panique au sein des scientifiques ayant développé cette petite révolution.


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Un avis :

 

Impression mitigée entre d'exceptionnels délires oniriques et des pistes scénaristiques assez confuses. Même en tentant d'abandonner tout rationalisme, on se retrouve finalement avec les neurones qui fument à tenter de cerner un film qui va définitivement trop vite.

L'histoire reste très intéressante malgré tout, portée par une maestria et un génie visuel indéniables, porteurs de sensations uniques. On en sort secoué, mais frustré devant une oeuvre qui ne se laisse pas dompter facilement.

Image :
Le rendu joue un peu sur la retenue, on sent que les couleurs et la netteté globale ne sont pas à leur meilleur. Rien qui ne gâche vraiment l'expérience, cependant.
Son :
Piste VO non compressée avec une dynamique excellente mais un mixage finalement assez brouillon.
Bonus : 
Le passionnant making of confirme l'ambition esthétique du réalisateur, qui a volontairement relégué l'histoire au second plan dans le processus créatif. Une table ronde et deux interviews tout aussi intéressants, complétés par un commentaire audio.

Un peu pareil. Perso je ressort du film charmé, mais la porté ultra symbolique et référencé de l'ensemble déconcerte. Plusieurs visionnages seront nécessaire pour en comprendre toutes les idées et enjeux.

Une belle découverte qui reste longtemps dans la tête.

Je préfère bolognaise voire barbecue perso...

Je sais pas pourquoi mais à la seconde où j'ai posté cette fiche j'étais persuadé que tu viendrais faire un jeu de mots bien moisi.

Je sais pas pourquoi mais je savais que tu allais écrire cela

Je sais pas pourquoi, mais je savais que ce doigt d’honneur ferait un succès.