Cars 3D

Combo Blu-Ray 3D + Blu-Ray 2D

Réalisateurs : John Lasseter et Joe Ranft
Voix : Owen Wilson, John Ratzenberger, Bonnie Hunt, Paul Newman, Michael Keaton, Tony Shalhoub, Jeremy Piven...
Durée : 1h57
Année : 2006
Editeur : Disney
Format image : 2.40
Region : A, B, C

Blu-Ray 3D :
Langues : Français, Espagnol DTS-ES 6.1 / Anglais Dolby TrueHD 5.1
Sous-titres : Français, Anglais, Anglais pour malentendants, Espagnol

Blu-Ray 2D :
Langues : Français, Néerlandais DTS 6.1 / Anglais Dolby TrueHD 5.1 / Français, Néerlandais, Flamand DD 5.1
Sous-titres : Français, Anglais, Anglais pour malentendants, Néerlandais

Bonus :
- Fonction démo
- Cinexplore : commentaires audio interactifs
- Voiturama : jeu
- 2 courts-métrages : "L'homme orchestre" et "Martin et la lumière fantôme"
- Mini reportage "L'origine de Cars" présenté par John Lasseter
- Epilogue du film en HD
- Scènes coupées
- 7 mini documentaires
- Le court-métrage saute-mouton version Cars

Résumé :
Flash McQueen, une splendide voiture de course toute neuve promise au succès, découvre que dans la vie, ce n'est pas de franchir la ligne d'arrivée qui compte, mais le parcours que l'on a suivi. Parti pour participer à la prestigieuse Piston Cup, il atterrit suite à une déviation dans la petite ville tranquille de Radiator Springs, sur la Route 66. McQueen va apprendre à connaître Sally (une élégante Porsche 2002), Doc Hudson (une Hudson Hornet 1951 au passé mystérieux), et Mater (une dépanneuse rouillée mais à qui on peut faire confiance). Ils vont l'aider à découvrir qu'il y a des choses plus importantes que les trophées, la gloire et les sponsors...


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Un avis :


Ni catastrophe ni chef-d'oeuvre, juste un divertissement plaisant emballé avec amour mais qui souffre évidemment beaucoup de porter le label Pixar. Il est vrai que le scénario tout ce qu'il y a de plus prévisible pourrait sortir de n'importe quel studio d'animation, et ça les petits gars d'Emeryville ne nous y ont pas habitués.

Mais il y a tout de même dans Cars des signes qui ne trompent pas. Le plus évident, c'est cette patte graphique somptueuse qui épate, avec un boulot de titan sur les textures, les lumières et les reflets qui parvient à rendre crédible un univers au comble de l'absurde. Ensuite le souci du détail, avec des environnements foisonnants et des petits clins d'oeil malins. Enfin, le film recèle un petit moment de magie Pixar bien caractéristique, au cours duquel l'émotion, jusque-là absente, affleure sans prévenir.

Le résultat final n'arrive bien sûr pas à la cheville des plus grandes réussites Pixar, avec ses coups de mou, ses longueurs, sa tirade limite réac sur la mort des villes-relais... Mais vraiment pas de quoi crier au loup, ce rejeton est bien le fils de son père.

3D :
Parfaitement confortable et naturelle, avec une profondeur de champ impressionnante. Elle joue très peu sur les débordements ou les jaillissements, en revanche. Ca reste spectaculaire, et quasiment sans dédoublements.
Image :
Sublime de bout en bout, à commencer par le déluge de couleurs sur la scène d'intro.
Son :
VO excellente mais moins énergique qu'espéré, la musique prend parfois trop le pas sur les vrombissements. De ce que j'en ai écouté (2 minutes) la VF a l'air plus punchy.
Bonus : 
Un double menu bien trouvé mais pas très ergonomique, qui donne accès aux suppléments, parmi lesquels 8 featurettes font office de making of et le font plutôt bien, sans chichis. Incroyable mais vrai, 2 commentaires audio doublés en français ( ).

Il se cache derrière ce scénario classique une belle analyse/satire des couches sociales Américaines, trop souvent manquée à cause de l'humour lourdaud